Lundi 17 septembre à 20:50, TF1 diffusera “Le bonheur des Dupré”, une fiction inédite de 90 minutes avec Marie-Anne Chazel et Bernard Le Coq. L'histoire : Alors qu’elle s’apprête à marier sa fille, Prune, Nat apprend que Bruno, son mari, est tombé amoureux d’une jeune femme. Elle décide de divorcer. Pour Prune, il est impossible de se marier dans ces conditions, ses parents étaient sont modèle de couple parfait. Le mariage est donc annulé ! Chantages affectifs, manipulations, mensonges, Nat va tout tenter pour surmonter cette crise familiale et sauver le mariage de sa fille !Bernard Le Coq joue Bruno, un homme posé et réfléchi, qui décide qu'il n'en a pas terminé avec l'amour. Il succombe ainsi aux charmes d'une jeune femme et rien, ni la colère de son épouse ni le chantage de sa fille ne réussiront à le faire plier. L'interprète revient sur son plaisir à avoir jouer dans cette comédie.
On vous retrouve avec Le bonheur des Dupré dans un registre de comédie. Est-ce votre genre de prédilection ?
Mon genre de prédilection est de jouer des rôles variés ! J'aime beaucoup la comédie, un genre difficile car tricher y est impossible. Cela nécessite un travail très précis dans l'écriture des dialogues. C'est aussi un genre merveilleux ! Travailler avec Marie-Anne Chazel et Bruno Chiche a été un beau cadeau. Le tournage, très agréable, s'est passé dans l'harmonie. Je n'aime pas travailler dans le génie et la douleur ! Cette fiction est cinglée ! On peut faire rire de mille façons mais dans Le Bonheur des Dupré, il y a une certaine élégance, une subtilité malgré des scènes cocasses.
C'est Marie-Anne Chazel qui vous a choisi pour ce rôle...
Et j'en suis très heureux ! Je suis un fan de la première heure du Splendid. Tous ses membres ont suivi des carrières collectives et individuelles étonnantes. Ils ont fait des choses très variées en tant que scénaristes, acteurs, producteurs... J'étais donc très flatté et en même temps un peu inquiet à l'idée de la décevoir. Mais grâce au regard très précis que porte Bruno Chiche sur les scènes drôles, nous sommes en confiance et n'avons pas peur de tendre vers le ridicule car le résultat sera forcément juste.
Cet unitaire est très centré sur la famille, un registre que vous connaissez bien, vous jouez dans Une famille formidable depuis longtemps... Aimez-vous cet univers ?
Assurément. Les rapports familiaux sont source de conflits, les plus intenses mais aussi les plus drôles. D'une manière générale, la vie quotidienne est très amusante à jouer. Je suis très à l'aise dans ce type de rôle, où il y a beaucoup à faire et où l'on peut surprendre quand ils sont bien écrits. Les rapports humains sont un sujet inépuisable...
Quelle est votre actualité en cette rentrée ?
Je tourne actuellement et jusqu'à fin octobre les trois nouveaux épisodes d'Une famille formidable. Et puis je donnerai la réplique à Gad Elmaleh dans le prochain long métrage de Costa-Gavras, Le capital. C'est un joli rôle sur le monde de la banque et de la finance.