Les larmes aux yeux, un sourire amer aux lèvres, Marie-Anne revient sur la façon dont elle a vécu ces cinq jours sur l'île de Johor.
Avouant ne pas avoir vraiment trouvé sa place dans ce groupe rouge, elle ne regrette néanmoins pas la façon dont les choses se sont passées. Et ne retient que la chance qu'elle a eu de relever ce défi qu'elle s'était lancé.