Dimanche 29 mai à 17:20, Aïda Touihri présentera en direct sur M6 un nouveau numéro du magazine “66 Minutes”. Voici les reportages au sommaire cette semaine : Le comique qui fait scandale
Dans ses sketches, il utilise les clichés racistes et sexistes, sans prendre de gants. Comment Max Boublil, 32 ans, est-il devenu en quelques mois la nouvelle coqueluche des adolescents avec des titres comme « Ce soir tu vas prendre » ou « J’aime les moches », que nombre de parents trouvent vulgaires ? Son fait d’armes est une polémique très virulente qui l’a opposé cet hiver, sur Internet, au rappeur Alibi Montana. Ce dernier le taxait de racisme, Max Boublil ripostait en le traitant comme un demeuré… Cette petite guerre, qui était partie pour très mal se finir, a connu un épilogue inattendu…

Fêtes foraines : les grands huits sont-ils sûrs ?
Le dernier accident en date s’est produit en avril dernier dans un grand par d’attraction : le wagon d’un circuit de montagnes russes a percuté un élément de décor, faisant 5 blessés dont un grave. Ces cinq dernières années, on a déploré une cinquantaine d’accidents de manèges dans les parcs d’attractions et fêtes foraines, qui ont fait 5 morts. C’est très peu, en regard des 100 millions de personnes qui fréquentent ces attractions chaque année. Mais selon un expert, la moitié des accidents pourraient être évités si les installations étaient mieux entretenues. Comment la sécurité de ces machines à se faire peur est-elle assurée ? Enquête chez les forains et les familles de victimes.

Le « Madoff » de la tripe
Loin des tours de Wall Street, c’est dans un décor de pavillons en meulière de banlieue parisienne qu’il opérait. Raymond Claval, tripier sur les marchés, est soupçonné d’avoir escroqué plus de 300 personnes, pour un montant de 60 millions d’Euros. Avec ses faux airs de Francis Blanche, il leur promettait de placer leur argent à un taux mirobolant, prétendant que ces liquidités devaient servir à alimenter les fonds secrets de l’Etat ! Mais le jour où beaucoup de ses clients ont voulu récupérer leur mise, ce banquier improvisé n’avait plus un sou en caisse.

Le bagne du shérif le plus dur des USA
Dans la fournaise de l’Arizona, des tentes, des barbelés et un mirador. Et surtout, des bagnards à l’ancienne, avec uniforme à grosses rayures et chaînes aux pieds. C’est la fierté du chef de la police de Phoenix, Joe Arpaio, qui s’est autoproclamé shérif le plus dur des USA. Son credo : faire souffrir les délinquants pour qu’ils gardent un souvenir cuisant de leur passage en prison. Son bagne est aussi le moins coûteux du pays : pas de café, cantine « la plus mauvaise possible », pas de savon pour se raser… Le shérif se vante du fait que ses détenus coûtent moins cher qu’un animal de compagnie. Cette politique ultra-répressive, qui déclenche les foudres des défenseurs des droits de l’homme, est-elle efficace ?