Mercredi 25 janvier à 20:45, Karine Le Marchand et Stéphane Plaza vous donnent rendez-vous sur M6 pour suivre le 2ème numéro du magazine “On ne choisit pas ses voisins”. Karine le Marchand et Stéphane Plaza vont à nouveau joindre leurs forces pour tenter de résoudre des conflits opposant des voisins qui vivent l’enfer.

Sylvie et Pascal.
Pascal est maraicher et travaille très dur depuis 20 ans pour gérer son exploitation familiale. Mais, depuis plusieurs années, Pascal est confronté à un terrible fléau : les pigeons dévorent ses salades, dévastent ses parcelles et ruinent ses récoltes. Il a tout essayé, sans succès, pour faire fuir les pigeons et sauver son exploitation de la faillite jusqu’au jour où il trouve enfin un outil efficace : le « canon effaroucheur », un tuyau de gaz qui émet toute la journée des détonations à intervalles réguliers, et qui effraie les oiseaux.

Sylvie, qui habite à 150 mètres de l’exploitation est propriétaire d’une belle et grande maison mais, pour elle et sa famille fini le repos, sans compter qu’ il devient impossible de passer du temps dans le jardin. Ces coups de canons incessants leur gâchent véritablement la vie. Pascal comprend et reconnait que le canon effaroucheur est difficile à supporter, mais refuse de l’enlever car pour lui et sa famille, c’est une question de survie.

Après des échanges infructueux, aujourd’hui la tension entre les voisins est très vive.

Catherine, Eric et Pascale.
Catherine et sa famille vivent dans un quartier résidentiel depuis 11 ans. Leurs voisins, Eric, Pascale et leurs enfants sont installés dans la maison en face depuis 9 ans. Citoyens et sensibles aux problèmes d’écologie ils décident d’installer en octobre 2010 une pompe à chaleur. Mais très rapidement cette pompe à chaleur devient le calvaire de Catherine. Jour et nuit, les vibrations et ronflements de la machine l’empêchent de vivre normalement… et de dormir. Catherine à très vite pris contact avec les autorités : police, mairie… Mais n’a pas réussi à mettre en avant les terribles nuisances que subit sa famille.

De leur côté, Eric et Pascale, ne comprennent pas l’enfer que vit leurs voisins. Ils estiment avoir fait un acte citoyen en investissant dans ce genre de machine et ont bien tenté d’ouvrir le dialogue, sans succès. Alors que tout dialogue est rompu, Catherine est épuisée par ce qu’elle vit… quelle sera la solution ?