
Du côté des Bouley
Souvenez-vous. On avait laissé un Denis Bouley, en pleine restructuration professionnelle (et capillaire), littéralement transformé par son nouveau job d’animateur à la maison de retraite. En guise d’apothéose finale, notre Mike Brandt, au sommet de sa gloire, tout satisfait et auréolé de son succès « rock » à la fête de l’école. Du côté de Valérie, une grande nouvelle : un p’tit (ou une p’tite) Bouley, à l’état embryonnaire, venait de faire son apparition…
Quelques mois ont passé. Mais nos Bouley, eux, n’ont pas vraiment changé. Pour Denis, la maison de retraite, c’est fini… Mais ce n’est pas pour autant qu’il décide d’oublier cette fibre artistique qui sommeille en lui. Un (autre) de ses talents (très) cachés sera même révélé au grand jour grâce à une rencontre inattendue avec Bruno Solo, qui joue ici son propre rôle.
Si le ventre de Valérie s’est arrondi, elle ne s’est pas vraiment calmée. Valérie rit, pleure, crie, s’émeut pour un rien, sans doute victime d’hormones de grossesse capricieuses. Mise sous tensiomètre en permanence, elle doit surtout rester zen. Oui, zen. Ce qui n’est pas gagné quand on connaît le regain d’énergie de cette mère de famille survoltée. Hyper-active, Valérie se démène pour trouver THE remplaçante - comprendre celle qui ne sera pas susceptible de lui piquer son job à son retour de maternité. Et c’est une certaine Cybel Kramer, une tueuse de la com’ au visage familier, qui fera (ou pas) l’affaire. Côté gamins, les parents Bouley devront apprendre à gérer une Tiphaine amoureuse et un Eliott passionné par le catch… Fugue, séance chez une (ô combien séduisante) pédopsychiatre (Helena Noguerra), accouchement impromptu… La descendance Boulet n’a pas fini de faire parler d’elle…
Du côté des Lepic
Qui a dit que l’atmosphère était plus calme et posée du côté des Lepic ? Alors qu’ils se félicitaient de la réussite au Bac de Christophe en cette fin de deuxième saison, les parents Lepic auront fort à faire avec les tribulations estudiantines (et sentimentales) de leur fils. Côté professionnel, Renaud, devenu numéro 2 des robinets Binet, se voit offrir une promotion. Mais à quel prix ?
Familialement parlant, il y a du chamboulement dans l’air. A Noël, un divin et grand enfant fait son apparition. Il s’appelle Daniel et est le fruit (interdit) d’une vieille relation adultère du bon-papa Lepic (Pierre Vernier). Pour Renaud, le choc est rude. D’autant que Daniel n’a absolument, mais alors absolument rien à voir avec lui. Hum. Du moins pour Renaud.
En cette période de fêtes, Fabienne apprend à cohabiter le plus sereinement possible avec bonne-maman (excellente Hélène Vincent), une belle-mère plutôt du genre contrariante... Heureusement pour elle, Fabienne Lepic s’aère l’esprit en dirigeant les répétitions de la chorale pour la messe de Minuit. Confrontée à une terrible épidémie de gastro touchant la plupart de ses choristes, elle fera appel à un voisin en qui elle a toujours cru… Eh oui, devinez qui viendra pousser la chansonnette dans le chœur de l’église ?