jeux_grattage01Mercredi 30 mars à 22:10, le magazine “C'est notre affaire”, présenté par Valérie Durier sur France 5, s'intéressera aux jeux d'argent et aux précautions à prendre pour ne pas en devenir dépendant. L'enquête de la semaine : Tiercé, jeux de grattage, paris en ligne… les jeux d’argent ne manquent pas. Avec 28 millions de clients pour la Française des Jeux, plus de 6 millions pour le PMU, et l’ouverture récente des jeux sur Internet en France, le secteur est en forte croissance. Mais attention, pour le consommateur, les jeux d’argent ne coûtent, ni  ne rapportent, pas tous la même chose. Les probabilités de gagner, ou de perdre, font l’objet de savants calculs… au profit de qui ?

Par ailleurs, le risque de devenir dépendant aux jeux est une réalité. Qu’existe-t-il pour éviter cela et quelles sont les solutions pour venir en aide aux joueurs qui dépensent trop d’argent ?  Pour aborder ces points, Valérie Durier nous emmène dans les coulisses d’un hippodrome, et de la Française des Jeux.

Addiction aux jeux d’argent : veut-on vraiment vous aider ?
Il y aurait près de 300.000 personnes dépendantes aux jeux d’argent. Une dépendance qui peut amener à dépenser, chaque mois, des sommes très importantes, trop importantes. Si les opérateurs de jeux sont dans l’obligation légale de faire de la prévention, et de mener des actions concrètes pour aider les joueurs en  danger, les solutions qu’ils proposent ne sont pas toujours à la hauteur…

Autres thèmes abordés :

Appareils auditifs : pourquoi sont-ils toujours onéreux ?
Contrairement à ce que l’on peut penser, les problèmes d’audition concernent désormais toutes les tranches d’âges. Et si des appareils auditifs peuvent apporter des solutions, leur coût reste très élevé, et ils sont mal remboursés par la Sécurité Sociale. Quelques rares enseignes proposent des « prix cassés », mais que vaut  la qualité du service, pourtant indispensable sur ce genre de produit ?

Téléphones portable : de l’argent dans vos tiroirs…
Nous aurions, en moyenne, trois téléphones portables usagés dans nos tiroirs… Des téléphones que nous n’utiliserons sans doute plus jamais. Ne devriez-nous pas, plutôt, nous en débarrasser « intelligemment » d’autant qu’il serait possible d’en tirer de l’argent !