
Pour preuve : le succès retentissant du dernier et audacieux album, Bretonne, de Nolwenn Leroy, qui a su surprendre son public avec la sortie de ce « disque retour aux sources ». Un pari hautement réussi pour la chanteuse qui s’est placée en tête des charts durant huit semaines consécutives… Et c’est le traditionnel et entraînant « Tri Martolod » que la jolie Bretonne viendra interpréter dans les studios de Taratata.
Autres Bretons à l’honneur : les six membres du groupe de rock Merzhin (Merlin en breton). Très inspirés par leur Bretagne natale, ces jeunes musiciens se sont longtemps amusés à revisiter le rock de manière, disons, celtisante… Avec eux, flûtes et bombardes s’accordent avec guitares et batteries. Dans Taratata, ils prennent le cap, Plus loin vers l’ouest – titre de leur dernier album –, et interprèteront « L’étincelle ».
Dans leur lignée, un aîné de la grande famille celtique sera également présent : Alan Stivell. Le chanteur, virtuose de la harpe celtique mais aussi multiinstrumentiste, est une figure emblématique de la musique et de la culture celtiques. Mouvance que, depuis les années 60, il n’a jamais cessé de mettre en lumière et de promouvoir, jusqu’à cette nouvelle vague de pop celtique qui a surgi dans la France des années 1990.
Tout le monde se souvient des Corrs, justement, et de leur tube « Only When I Sleep ». Andrea Corr, la chanteuse du célèbre groupe irlandais, viendra interpréter – et en français, s’il vous plaît – un extrait de son dernier album, Lifelines.
Tararata revêtira aussi les couleurs irlandaises avec le chanteur folk et lumineux de Glasgow, Donovan. Celui qui participa aux courants psychédéliques, « Flower Power » et pacifistes des années 1960 et que John Lennon décrivait comme étant « aussi important et influent que peuvent l’être Bob Dylan ou les Beatles » inondera le plateau de ses bonnes « vibes » et offrira un medley de ses plus grands tubes.
Encore un Taratata inédit, ponctué de solos ou de duos magiques et dont seul (le druide) Nagui a le secret…