Chaque jour, Faustine Bollaert accueille sur le plateau de "Ça commence aujourd'hui" des hommes et des femmes qui évoquent des événements marquants de leur existence, pour permettre à d'autres d'avancer dans leur parcours : un rendez-vous positif et optimiste.
13:55 Infertilité masculine : comment ont-ils vécu cette difficulté à avoir un enfant ?
L'infertilité est souvent perçue comme un problème féminin, reléguant le rôle de l'homme à un simple second plan dans le parcours de Procréation Médicalement Assistée (PMA). Cependant, les statistiques démontrent que la responsabilité de l'infertilité est masculine dans 20 à 30 % des cas et mixte dans 20 % des cas. Ces chiffres soulignent l'importance de reconnaître le poids émotionnel et les défis uniques auxquels les hommes font face lorsqu'ils sont confrontés à cette réalité.
Les invités de Faustine Bollaert mettent en lumière le choc du diagnostic, la quête parfois semée d'embûches pour trouver une solution, ainsi que les répercussions psychologiques et relationnelles de cette épreuve.
Anthony et Mélissandre rêvaient de devenir parents. Ils n’ont pas réussi naturellement et se sont tournés vers la PMA. Mais tout s’est concentré sur Mélissandre, Anthony n’a subi qu’un examen. Après 2 FIV en France, ils ont tenté une autre méthode en Espagne. Résultat, l’infertilité vient d’Anthony. Le couple a perdu 2 ans et beaucoup souffert à cause de cette erreur...
Après avoir essayé pendant un an d’avoir un bébé naturellement, Fanny et Loïc ont effectué des tests de fertilité. Loïc n’avait que 11 spermatozoïdes. Pour lancer un parcours PMA, il a subi une ponction testiculaire afin de prélever les spermatozoïdes directement et réaliser la FIV. Ainsi, ils ont réussi à avoir Roxanne et Charly.
15:05 Ils ont le sentiment d'avoir servi de cobaye
Pour cet épisode de “Ça commence aujourd’hui”, Faustine Bollaert reçoit sur le plateau des invités qui ont été victimes d’actes médicaux qui leur avait pourtant été vendus comme sans risques.
En souffrance depuis plusieurs mois, Sylvie a tout compris en entendant Anny Duperey à la radio. L’unique médicament qu’elle prenait suite à son ablation de la thyroïde, avait eu une modification de sa formule, sans que les patients en soient informés.
Après des années de fuites urinaires, Anne-Laure s’est fait poser une bandelette sous-urétale : un dispositif présenté comme sans risques. Mais pendant 7 ans, Anne-Laure a continué à vivre avec les douleurs avant de découvrir la remise en cause des bandelettes et que des milliers de femmes souffraient de ce dispositif qui n’avait pas été conçu pour être retiré.
Suite à des complications de problèmes cardio-vasculaires, Christophe a perdu toutes ses dents. Pour lui reconstruire la bouche, il a rencontré un chirurgien qui lui a proposé de l’opérer avec un robot vendu comme d’une précision miracle. L’opération devait être précise et ne durer que 2h, mais Christophe est finalement resté 8h au bloc, et en est ressorti défiguré.