
Théo est interrogé dans les locaux de la police judiciaire, jugé puis condamné à mort. Sophie, l’avocate de Théo, trouve un vice de forme et obtient la cassation du procès. Simultanément le milieu intellectuel parisien prend fait et cause pour Théo, Jean-Paul Sartre en tête qui écrit un éditorial enflammé en Une de Libération. Cet article aura pour effet de susciter la curiosité de Théo qui demande à lire cet article, n’y comprend rien, et se fait livrer un dictionnaire pour tenter de déchiffrer le texte.
Ce dictionnaire va provoquer en lui une curiosité pour les mots et un appétit d’apprendre. Mais Thierry, le collègue du gendarme tué au cours du hold up, n’a de cesse que de vouloir la condamnation de Théo qu’il soupçonne de simulation pour sauver sa tête. Le temps passe : Théo apprend. Il commence à comprendre le sens des mots, se rend compte que les deux braqueurs qui ont été la cause de tous ses malheurs en mai 1978 sont en réalité des anarchistes. Et c’est Théo lui-même qui va donner au gendarme Thierry les indices pour mener une nouvelle enquête.
Le tournage a débuté le 14 novembre et se déroulera jusqu'au 16 décembre à Paris et dans sa proche banlieue.