
vendus dans le monde depuis 1954, « Martine » est devenue une héroïne internationale et intergénérationnelle.
Il y a autant de « Martine » que d’albums. Elles sont en effet toutes différentes… que ce soit en termes d’âge, de traits, de coupe de cheveux… Une seule et unique « Martine » a dû être créée pour la série, une « Martine » qui traverse les années et les modes et que nous pourrions reconnaître au premier coup d’oeil. La 3D a permis de retranscrire au mieux l’univers de Marcel Marlier, l’utilisation des volumes rendant hommage au dessin ultra réaliste et étaillé de l’auteur graphique.
Au-delà de l’univers graphique de « Martine », les histoires aussi ont dû être adaptées afin de mieux correspondre aux enjeux d’une série animée. Martine vit dans un village avec sa famille, elle va à l’école et joue avec ses copines. Ces dernières sont bien plus présentes que dans les albums, ce qui permet d’apporter encore plus d’humour, de suspense et d’impertinence aux aventures champêtres de la série. Mais la grande nouveauté, c’est l’arrivée d’une rivale, Émilie, la petite peste qui sème la zizanie aussi bien à l’école que dans tout le village.
Afin de respecter une telle oeuvre, les épisodes de la série n’oublient pas les thèmes chers aux auteurs des albums : la famille, l’amitié, les animaux, la campagne, s’amuser avec ses amis, fêter un anniversaire, faire du vélo, jouer à la balle avec Patapouf… Ces codes étant dans l’ADN des albums, imaginer une série conservant ces repères est vite apparu comme une évidence.
52 épisodes de 13 minutes seront diffusés sur M6 à la rentrée.