Dans "Pandore", 12 hommes et femmes, choisis pour leur force, leur ténacité et leur culture, doivent affronter des défis inspirés des mythes grecs les plus célèbres, pour remporter une offrande d’une valeur de 100 000 euros :
- Accomplir les travaux d’Hercule
- Combattre le cheval de Troie
- Défier l’épée de Damoclès
- Vaincre la Méduse
- Soulever le rocher de Sisyphe
- Maîtriser le feu de Prométhée
- Triompher des sirènes
- Et le plus redoutable de tous, celui de la Boîte de Pandore.
Chaque jeu met à l’épreuve leurs capacités physiques, psychologiques et intellectuelles.
Chaque jour, 2 mortels sont sacrifiés et leur sort est scellé dans la boîte de Pandore. Si, au coucher du soleil, leur nom est toujours dans la boîte, ils doivent s’affronter dans un duel éliminatoire. Et le perdant quitte définitivement cette épopée.
2 mortels sont soumis à la tentation d’ouvrir la boîte et le reste du groupe doit tout faire pour les empêcher d’y accéder, car à chaque fois qu’elle sera ouverte, la malédiction des dieux s’abat sur les mortels et l’offrande diminue.
Alors choisiront-ils leur intérêt personnel ou le bien collectif ?
Second épisode
Alban et Alexandre ont cédé à la tentation, ils ont ouvert la boîte de Pandore. Alban, qui était sacrifié, y a échangé son buste contre celui de Brigitte. Alexandre à, quant à lui, décidé de sauver Fiona qui était également sacrifiée. Ces deux ouvertures font perdre la somme de 10.000 euros. Brigitte a dû affronter Bruno en duel, et a quitté l'aventure après l'avoir perdu.
C'est dans une ambiance tendue que va débuter le deuxième épisode... Le groupe a découvert qu'Alban et Alexandre avaient ouvert la boîte, faisant perdre 10.000 € à la cagnotte. La trahison d'Alban et d'Alexandre vont créer les premières alliances et les premières rancœurs, promettant une suite explosive...
Mortels ou Dieux, personne n'est à l'abri. La guerre est déclarée et tous les coups sont permis.
Pour survivre, les mortels devront s'allier, se trahir ou sacrifier les leurs.
Défier les Dieux à toujours un prix et, à Pandore, personne ne sort indemne.

































