François embarque sur la Loire, le plus long fleuve de France. En descendant plus de 1000kms jusqu’à l’estuaire de Saint-Nazaire, François découvre ce fleuve à la nature changeante mais toujours sauvage
Après avoir survolé sa source en Ardèche, navigué dans ses premières gorges en kayak, il rencontre une bergère et ses 200 moutons, adeptes du pastoralisme à l’ancienne et véritables sentinelles du fleuve
Dans la Nièvre, il emprunte une toue sablière avec un jeune marinier passionné, comme au temps où la Loire était une des routes commerciales les plus imposantes.
Arrivé à Chambord, c’est une équipe de voltigeurs au caractère bien trempé qui attendent François, et lui font vivre la grande époque de François 1er .
Près de Tours, il rencontre les feux de l’amour dans une guinguette puis s’essaie à la bourde en gabarre traditionnelle.
En embarquant sur le bateau le Michel Pineau, François découvre le métier de baliseurs, véritables lecteurs des eaux ligériennes.
Proche du but, près de Saint-Nazaire, François retrouve l’équipe des pilotes de la Loire chargés de sortir des mastodontes de 31000 tonnes du fleuve jusqu’à l’embouchure vers l’Océan Atlantique mais quoi qu’il arrive au bout c’est la mer !
À la suite de cet inédit, France 5 rediffusera « Le Magdalena ».
Direction le fleuve Rio Magdalena en Colombie pour François Pécheux.
Départ sportif en rafting pour rejoindre la ville de Honda où il découvre le Tejo, une sorte de pétanque explosive, un jeu que pratiquent les colombiens. Dans cette même ville, François est initié à une pêche dangereuse qui se pratique au filet, dans les courants du fleuve.
Au cours de son voyage, il rencontre Lorena, fabricante de Panela, qui l’emmène visiter son exploitation. Il participe à la fabrication de la panela qui occupe une place très importante dans l’alimentation colombienne.
En bateau, François fait escale à Mompox, citée autrefois connue pour ses vendeurs d’or. Il y croise le seul gros bateau de transport qui navigue sur cette portion du fleuve. Ensuite, direction le village flottant de Nueva Venecia, où la vie semble filer doucement. Au petit matin, il accompagne un porteur d’eau qui rapporte sur sa barque, chaque jour, de l'eau pour toutes les familles du village...
Après avoir marché sur une longue digue, son voyage se termine par la rencontre avec un pêcheur optimiste malgré le vent qui se déchaîne. Une longue marche mais qui en vaut la peine car au bout…c’est la Mer !