
À près de 4 500m, les attend Balthazar, 80 ans, le dernier Hielero (coupeur de glace) du pays qui va leur montrer les méthodes ancestrales pour travailler la glace des sommets. Devant son regard plus qu’amusé, les concurrents vont rapidement réaliser à quel point couper la glace, la conserver et surtout la transporter à dos de mule peut s’avérer particulièrement difficile… Certains binômes vont notamment avoir les pires difficultés pour se faire entendre par cet animal très têtu… pour le meilleur et pour le rire.
Lors de cette étape dans un décor irréel, le froid et le manque d’oxygène vont transformer l’ascension en un véritable cauchemar.
Manque de sommeil, hygiène primaire, difficultés à se faire comprendre, routes impraticables, rien n’est épargné aux candidats : certains candidats atteignent déjà leur point de rupture et envisagent d’abandonner. Fort heureusement, l’esprit d’aventure, la solidarité entre les différentes équipes et l’hospitalité du peuple équatorien vont permettre de dépasser les difficultés.
Après cette ascension éprouvante, la course reprend ses droits. Sur cette 2e étape, les stratégies et les affinités entre binômes se dessinent : si certains sont là pour le partage et la rencontre et se mettent parfois dans des situations de quiproquos particulièrement comiques, d’autres montrent déjà un réel esprit de compétition. La dernière équipe arrivée à Cuenca sera éliminée.