
Jeunes diplômés : les dessous du recrutement.
« Pas assez d’expériences », « trop de candidatures pour un seul poste »… ce sont les phrases auxquelles se heurtent régulièrement les jeunes à la recherche de leur premier emploi. Les moins de 25 ans enchaînent les stages, les petits contrats ou encore les missions d’intérim. Ainsi, le CDI est presque devenu une utopie pour beaucoup. Et quel que soit le niveau de formation, ils traversent des mois, voire des années de galère avant de décrocher leur premier job. Pourquoi les moins de 25 ans ont-ils autant de mal à trouver du travail ? Les entreprises ont-elles peur lorsqu’elles recrutent un jeune diplômé ? Et jusqu’où vont parfois leurs exigences dans leur quête du candidat idéal ?
Net économie : recherche bons profils désespérément.I
l y a à l’inverse des secteurs où les débouchés sont nombreux, où les patrons rament pour trouver des employés. Comme l’informatique et Internet. Aujourd’hui, toutes les entreprises ont compris la valeur ajoutée de la toile et des réseaux sociaux et sont prêtes à mettre le prix pour dénicher les meilleurs talents. Du coup, près de 450 000 emplois devraient voir le jour d’ici 4 ans. Sacrée opportunité à condition d’avoir la formation adéquate. Pourquoi n’y a-t-il pas suffisamment de bons candidats ? Comment l’université s’adapte-telle à ces nouveaux besoins ? Que valent les écoles privées qui se lancent sur ce créneau ?
Tarifs jeunes : comment récupérer de futurs clients ?
Ils n’ont pas un sou en poche, bien souvent pas encore d’emploi… et pourtant ils font l’objet de toutes les convoitises. Aujourd’hui, les banques notamment se battent pour attirer la clientèle « jeune ». Autrefois délaissée, cette cible est devenue essentielle pour ces établissements. Du coup, du berceau à la fac, toutes les stratégies sont bonnes pour conquérir et fidéliser ces jeunes pour lesquels les banques déroulent le tapis rouge. Capital décrypte pour vous les techniques et autres astuces pour récupérer les jeunes clients et tenter de les garder pour de longues années.
Pays-Bas : le pays du plein emploi des jeunes.
Si, en France, le chômage des jeunes est un problème important, il existe un pays en Europe où l’on ne se pose presque plus cette question. En effet, un de nos voisins affiche un record insolent, celui du taux de chômage le plus bas d’Europe : 7,5 % ! C’est trois fois moins que chez nous. Dans les années 80 le taux de chômage y atteignait les 20 %. Mais aujourd’hui, les Pays-Bas font figure d’exemple en matière d’emploi des jeunes. Pourquoi de tels résultats ? Comment le gouvernement a-t-il fait du travail des jeunes une priorité nationale ? Et comment ce pays réussit-il à ouvrir les portes de ses entreprises aux débutants ?