Lundi 27 février à 19:00, Alessandra Sublet présentera en direct sur France 5 le 500ème numéro de son magazine “C a vous” qui va lui réserver bien des surprises... Bientôt 500 dîners, plus de 1 300 personnalités reçues et une recette qui séduit chaque jour davantage de téléspectateurs ! Tous les soirs, Alessandra Sublet, entourée d’une joyeuse bande de chroniqueurs, ouvre les portes de son chaleureux loft. Après une première partie consacrée à l’actualité, elle engage avec un invité une conversation à bâtons rompus. Dans le coin cuisine, des chefs concoctent le repas, qui sera servi ensuite aux convives. Les deux ingrédients principaux de ce magazine incontournable de l’access prime time : la liberté de ton et la bonne humeur.

A l'occasion de cette 500ème, les rôles vont s’inverser : ce jour-là, c’est Alessandra Sublet qui sera l’invitée de l’émission. Comment les choses vont-elles se passer ? Elle l’ignore elle-même ! Rendez-vous pour près d’une heure de surprises !

Entretien avec Alessandra Sublet :

Quel est le meilleur souvenir que vous gardez de l’émission ?
Alessandra Sublet : Ce que je retiens avant tout, c’est la joie de vivre de l’équipe au quotidien. L’invité, c’est la cerise sur le gâteau, mais la convivialité qui se dégage de cette émission est exceptionnelle ! Aujourd’hui, nous nous connaissons tous vraiment bien et cette complicité grandit de jour en jour.

Le souvenir le plus drôle ?
A. S. : En décembre dernier, quand Luana s’est cassé la figure en cuisine. Des fous rires sur le plateau, il y en a des tonnes, presque un par jour. C’est pour ça aussi que ça marche entre nous.

Le plus émouvant ?
A. S. : Sans ésitation, le décès de la cuisinière Muriel Salmon en octobre dernier… Elle était avec nous quelques heures avant. La brutalité de sa disparition a bouleversé notre équipe, comme une famille qui perd un de ses membres.

Des souvenirs de soirs de trac ?
A. S. : Quand on reçoit des stars internationales, comme Hugh Grant, Lenny Kravitz ou Charlie Winston, on se demande toujours comment ils vont réagir et on a un peu la pression. Mais, au final, ça se passe comme avec les autres. Quand Lenny Kravitz est reparti, il a dit que c’était un des talk-shows les plus exceptionnels auxquels il a participé. Ça fait évidemment plaisir. La force de l’émission, c’est le mélange des genres. Et puis, dans cette équipe, personne n’a le melon, et ça, les artistes s’en rendent compte.

Un souvenir culinaire ?
A. S. : Gilles Lellouche était invité, avec Babette de Rozières en cuisine. Gilles avait adoré le plat, alors, quand il a vu arriver le dessert, il en a pris une grosse bouchée. Et là, c’est le drame : il avait l’impression d’avoir un aquet de sucre dans la bouche ! On a eu un fou rire pendant dix minutes.

Est-ce que tout le monde autour de la table mange vraiment ?
A. S. : Moi, je mange moins, parce que, pour l’interview, c’est compliqué, mais je confirme que Patrick Cohen, Emmanuel Maubert, Jérémy Michalak et les chefs mangent pour de bon !

Un souvenir particulier de live ?
A. S. : Des moments off, mais magiques, quand des artistes comme Alain Souchon, Julien Clerc ou Laurent Voulzy sont restés avec nous pour jouer un peu de guitare et chanter les titres qu’on aime bien.

Quel est l’invité que vous rêvez de recevoir ?
A. S. : On a eu la confirmation que Depardieu viendrait bientôt. On croise les doigts… Et puis, une fois par semaine, on fait un prégénérique sur Jean- Jacques Goldman pour essayer de le faire venir ! Il fait partie des gens qu’on aimerait accueillir.