"C dans l'air" jeudi 9 novembre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL jeudi 9 novembre 2023 1475
"C dans l'air" jeudi 9 novembre 2023 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Axel de Tarlé vous donne rendez-vous ce jeudi 9 novembre 2023 à 17:30 sur France 5 pour un nouveau numéro de “C dans l'air”. Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

17:30 L'invité de "C dans l'air"

Axel de Tarlé reçoit chaque jour en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.

Ce jeudi 9 novembre 2023, Axel de Tarlé recevra : Luc Dini, ingénieur de construction aéronautique, auteur de "Ovnis - Lumière sur les dossiers déclassifiés du Pentagone" publié aux éditions Michel Lafon.

Depuis juin 2020 et la déclassification des dossiers du Pentagone, la chasse aux ovnis est officielle, et, outre- Atlantique, on admet enfin qu'" il existe des phénomènes curieux d'origine possiblement extraterrestre ".

Ces manifestations captivent l'attention de tous, et chaque nouvelle publication, particulièrement celles émanant de la Nasa, suscite les rumeurs les plus folles. Débris d'engin, crashs extraterrestres, qu'en est-il vraiment ?

Luc Dini décrypte pour nous ces ressources exceptionnelles jusqu'alors classées secret défense.

17:45 "C dans l'air"

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités : 

Général Christophe Gomart, ancien directeur du renseignement militaire, ex-commandant des opérations spéciales.

Elsa Vidal, rédactrice en chef de la rédaction en langue russe à RFI.

Anne Nivat, grand reporter au Point.

Sylvie Kauffmann, éditorialiste internationale au Monde.

Le thème de l'émission :

Une conférence humanitaire est organisée ce jeudi à Paris, réunissant Etats et ONG au chevet de Gaza pilonnée par l’armée israélienne depuis les attaques du 7 octobre, avec un message : les populations civiles n’ont pas à payer pour les crimes du Hamas. L’aide humanitaire est estimée à plus d’un milliard de dollars par les Nations unies. Mais comment l’acheminer alors que les bombardements sont quotidiens ? Emmanuel Macron a appelé ce jeudi 9 novembre à "œuvrer à un cessez-le-feu" entre Israël et le Hamas en ouverture de la conférence. "Dans l'immédiat, c'est à la protection des civils qu'il nous faut travailler. Il faut pour cela une pause humanitaire très rapide et il nous faut œuvrer à un cessez-le-feu", a déclaré le chef de l'État. "Celui-ci doit pouvoir devenir possible", a-t-il ajouté, avant de s’engager à verser 100 millions d'euros d'aide de la part de la France.

Si Paris a apporté son soutien à Israël à la suite de l'attaque du Hamas le 7 octobre qui a fait 1.400 morts et conduit à la prise en otage de 239 personnes, les préoccupations sont croissantes à l'égard des victimes civiles dans la bande de Gaza signalées chaque jour dans les frappes israéliennes menées depuis lors en représailles. Des milliers de personnes ont été tuées, blessées et déplacées. Les appels à un cessez-le-feu se multiplient. Une bonne partie du monde exprime son soutien à la cause palestinienne et en veut aux Occidentaux de ne rien faire pour arrêter la tragédie que vivent les civils gazaouis. Une situation qui profite notamment à Vladimir Poutine qui se pose en défenseur des Palestiniens bombardés alors que la guerre en Ukraine semble désormais passer au second plan.

Le week-end dernier lors, d’une conférence de presse aux côtés de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Volodymyr Zelensky a estimé que le conflit entre Israël et le Hamas avait "détourné l’attention" de la guerre opposant l’Ukraine à la Russie, au moment où Kiev redoute que la lassitude ne gagne progressivement ses alliés qui ne voient pas d’avancer significative sur le terrain. Il y un an, en effet, les forces ukrainiennes célébraient la libération de la ville de Kherson. Mais depuis, la ligne de front n’a guère bougé, malgré de multiples attaques russes et la contre-offensive ukrainienne lancée en juin.

Pour tenter de rassurer Kiev, les Occidentaux ont multiplié ces derniers jours les engagements à rester fidèles à leur promesse de soutenir l’Ukraine jusqu’au bout. Les ministres des Affaires étrangères du G7 l’ont réaffirmé mercredi lors de leur réunion au Japon.

Mardi, le ministre des Armées Sébastien Lecornu a aussi annoncé qu’il allait réabonder de 200 millions d’euros le fonds de soutien de la France à Kiev, pour permettre à l’armée ukrainienne de poursuivre ses achats d’équipements français. Le même jour, les Pays-Bas ont, eux, envoyé cinq premiers avions de combat F-16 vers la Roumanie, où ils seront utilisés pour former des pilotes ukrainiens. Surtout la Commission européenne vient de recommander l’ouverture des discussions d’adhésion avec Kiev. Les 27 Etats membres doivent désormais valider cette proposition lors d'un Conseil européen. La route vers l'adhésion est encore longue pour l'Ukraine, puisque l'ouverture de négociations ne garantit pas une place dans l'UE, mais cette annonce de Bruxelles a un côté rassurant pour Kiev au moment où le front est devenu statique. La guerre risque de durer encore longtemps. Et des divisions apparaissent aux États-Unis sur le soutien à l’Ukraine qui ne vont faire que s’aggraver à l’approche des élections.

Le sujet vous questionne ?

Posez votre question par SMS au 41 555 (du lundi au samedi de 15h30 à 19h00 | 0,05 € / SMS), sur Twitter avec le hashtag #cdanslair.

Dernière modification le jeudi, 09 novembre 2023 15:49
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