"C dans l'air" vendredi 1er novembre 2024, les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL vendredi 1 novembre 2024 1200
"C dans l'air" vendredi 1er novembre 2024, les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Axel de Tarlé vous donne rendez-vous ce vendredi 1er novembre 2024 à 17:30 sur France 5 pour un nouveau numéro de “C dans l'air”. Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

17:30 L'invité de "C dans l'air"

Axel de Tarlé reçoit chaque vendredi et samedi en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.

Ce vendredi 1er novembre 2024, Axel de Tarlé recevra : Sarah Dumont, journaliste et fondatrice de "Happy end", un guide en ligne dédié à préparer sa mort ou à mieux vivre son deuil.

La Toussaint est traditionnellement l'occasion de penser à nos morts, et de les honorer. Dans notre société, le sujet de la mort est souvent tabou, et nombreux sont ceux qui partent sans avoir donné de consignes pour leurs funérailles. Avec désormais 30% d'obsèques laïques, et plus de 40% de crémations, les ristes funéraires évoluent, et de nouvelles pratiques s'offrent aux familles. On peut ainsi déposer une urne funéraire dans une "forêt cinéraire", près d'un arbre, pour un retour à la nature, et le choix d'un lieu de recueil apaisant. Il existe aussi des "bateaux de dispersion", afin de disperser les cendres d'un défunt dans l'eau.

En moyenne, un enterrement coûte 4.730 euros, un budget qui s'avère un peu moindre pour les crémations (4.434 euros en moyenne). Le choix de la crémation est souvent motivé par le fait de ne pas vouloir être une charge pour ses proches, car il n'y a pas à entretenir une tombe", explique Sarah Dumont.

Sarah Dumont, journaliste et auteure de "Mon journal de deuil", aux éditions Leduc, s'intéresse depuis longtemps au sujet de la mort. En 2018, elle crée "Happy end", pour aider chacun à mieux préparer sa mort ou vivre un deuil. A travers des conférences et ateliers, elle incite à briser le tabou de la mort, pour que les funérailles soient le "dernier acte de vie" d'une personne. "Si on ne donne pas d'indications sur ses obsèques, on risque de laisser une trop lourde charge à ses proches , déjà très touchés par le deuil", affirme-t-elle. Elle nous éclairera sur les différentes possibilités qui s'offrent aux familles, pour organiser un dernier 'au revoir' fidèle au défunt.

17:45 "C dans l'air"

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités : 

Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges.

Marion Van Renterghem, grand reporter, chroniqueuse à L'Express.

Nicolas Barré, directeur éditorial des Echos.

Sylvie Matelly, économiste, directrice de l’Institut Jacques Delors.

Le thème de l'émission : 

L'Allemagne en panne , et nous ?

L'Europe est en perte de vitesse sur la scène internationale. Croissance, investissements, commerce extérieur, main-d'oeuvre, elle décroche face aux Etats-Unis et à la Chine. Preuve que la situation est inquiétante : l'Allemagne, longtemps considérée comme moteur économique européen, échappe de peu à la récession (hausse du PIB de 0,2% seulement au trimestre dernier).

Symbole de cette fatigue outre-Rhin : l'industrie automobile (20% du PIB allemand) est aussi en baisse de régime. Le géant Volkswagen, plombé par des coûts élevés et la baisse des ventes en Chine, s'apprête à fermer trois usines et prépare un plan d'économies sans précédent avec suppressions d'emploi et baisses de salaires. À la crise économique s'ajoute enfin un début de crise politique puisque la coalition au pouvoir fait à présent face à d'importantes divisions.

Pendant ce temps, en France, la situation n'est plus enthousiasmante avec un examen du budget qui enflamme l'Assemblée nationale. Des remous se font même voir au sein même du bloc central avec de nombreux amendements déposés et un absentéisme de députés censés pourtant soutenir le gouvernement. Michel Barnier, lui, cherche à préserver les bons chiffres du chômage, et propose pour cela d'investir dans les stages obligatoires pour les bénéficiaires du RSA. Dans l'Eure, un des départements concernés, l'expérience semble pour le moment concluante.

Le Premier ministre souhaite aussi faire contribuer les fonctionnaires. Il s'attaque aux arrêts maladies, plus nombreux dans le public que dans le privé. Des propositions qui ne sont pas pour plaire à Lucie Castets. La candidate malheureuse du NFP au poste de Première ministre, pointe du doigt des services publics « exsangues ».

Alors, comment l'Europe peut-elle se relever économiquement ? Quel premier bilan faire des du RSA conditionné à des stages ? L'effort budgétaire doit-il peser sur les fonctionnaires ?

Le sujet vous questionne ?

Posez votre question par SMS au 41 555 (du lundi au samedi de 15h30 à 19h00 | 0,05 € / SMS), sur Twitter avec le hashtag #cdanslair.

Dernière modification le vendredi, 01 novembre 2024 16:34
mail

L'actualité TV Newsletter
Pour ne rien louper...
Chaque semaine, recevez en avant-première une sélection de programmes qui seront bientôt diffusés à la TV.

vignette primes a venir
vignette week end tv
© 2004-2025 Les coulisses de la télévision - Jean-Marc VERDREL