L'histoire en quelques lignes...
Un groupe d'hommes d'affaires parisiens fortunés qui organisent chaque semaine un "dîner de cons". Le principe est simple : chaque participant doit amener un "con" (un parfait idiot) sans que ce dernier ne s'en doute, et le but est de faire en sorte que le "con" soit le plus ridicule possible pendant la soirée, sans jamais le vexer ouvertement. Celui qui a amené le "meilleur" con gagne.
Ce soir-là, Pierre Brochant (Thierry Lhermitte), un éditeur parisien snob et arrogant, pense avoir trouvé le spécimen parfait en la personne de François Pignon (Jacques Villeret), un employé du ministère des Finances passionné par les maquettes en allumettes. Brochant est sûr de son coup et se réjouit à l'idée de présenter Pignon à ses amis.
Cependant, les choses ne se passent pas comme prévu. Avant même le dîner, Brochant se blesse au dos et se retrouve cloué chez lui. Il est alors contraint de passer la soirée avec Pignon, qu'il ne peut plus emmener au dîner. Ce qui devait être une simple formalité se transforme en un véritable cauchemar pour Brochant.
Pignon, malgré sa gentillesse et sa bonne volonté, accumule les gaffes et les catastrophes les unes après les autres. Ses tentatives d'aider Brochant se soldent systématiquement par des désastres qui ruinent la vie de ce dernier : il fait exploser son téléphone, ruine ses relations amoureuses et amicales, met sa carrière en péril, et provoque un enchaînement de quiproquos et de malentendus hilarants.
Au fur et à mesure de la soirée, Brochant, d'abord exaspéré et méprisant, commence à entrevoir la véritable nature de Pignon : un homme profondément bon, naïf et bien intentionné, dont l'innocence contraste avec la méchanceté et la superficialité du monde de Brochant. Finalement, Brochant réalise que le véritable "con" n'est peut-être pas celui qu'il croyait.