Un nouveau plumage vient illuminer la scène : L’Oiseau, star internationale d’un soir, fait son entrée. Son costume, composé de milliers de polygones dorés, scintille comme un soleil en plein vol. Libre comme l’air, il raconte avoir parcouru le monde, de scène en scène, jusqu’à devenir “le roi, the king” dans son domaine. Un indice plus précis attire l’attention : la plus grande île des Antilles, Cuba. Une escale qui pourrait bien contenir la clé du mystère…
Dans le second magnéto indices, dans son parc verdoyant, L’Oiseau continue de semer les plumes, comme les révélations. Il confie avoir été nommé aux Grammy Awards, preuve éclatante d’une carrière musicale d’envergure mondiale. Mais attention : “Le nom sous lequel vous me connaissez n’est pas mon vrai nom”. Derrière ce masque doré se cache donc aussi un nom de scène. Les images s’emballent : aux côtés d’Iron Man, puis retour en 96 avec le tube chorégraphié par Mia Fry, la mythique Macarena. Enfin, L’Oiseau souffle un indice capital : “mon nom a du mordant”. Et pour brouiller les cartes, il évoque des prénoms : Louis, Rita, David et Monica.
Pour marquer son passage, L’Oiseau choisit un titre mythique : Purple Rain de Prince. Accompagné par la prestigieuse troupe du Paradis Latin, il a livré une interprétation à la fois puissante et maîtrisée d’une chanson réputée “très difficile à chanter”. Un choix stratégique : privilégier une ballade rock qui met en lumière ses qualités vocales, tout en évitant le style mambo laissé entendre par l’indice cubain. De quoi maintenir le mystère… jusqu’aux derniers instants.
Le moment est venu de découvrir la véritable identité de L'Oiseau : Lou Bega ! Regardez son démasquage.