Cap sur la Bourgogne du Sud, avec Cyril Féraud, pour une course entre nature, patrimoine et traditions ! Deux candidats s’élancent à travers la Saône-et-Loire, des vignobles mythiques aux abbayes millénaires, en passant par les bords de Saône. Une aventure entre terroir et trésors cachés !
La carte aux trésors, le jeu de compétition et d'aventure, est de retour pour une soirée exceptionnelle. Cyril Féraud vous emmène au sud de la Bourgogne, à la découverte de la Saône-et-Loire.
Ce numéro inédit se déroule dans cette zone de jeu qui s’étend entre la Loire à l'ouest et la Saône à l'est. De Rully jusqu'à Mâcon, en passant par Charolles, Cluny et Tournus.
Les deux candidats, Claire et Raphaël, vont devoir résoudre des énigmes pour découvrir le Trésor et s'élancer dans un jeu de piste géant qui les emmènera à la découverte des plus beaux châteaux de Saône-et-Loire en remontant aussi le fil de l'histoire grâce à Cluny qui a abrité pendant plus de 400 ans la plus grande église du monde ! Nous goûterons des produits d'excellence qui font la renommée de la gastronomie locale. Nous découvrirons des coteaux connus dans le monde entier grâce au travail de la vigne.
Un jeu en trois parties
Les énigmes
Les candidats doivent résoudre trois énigmes chronométrées. Chacune d’elles consiste à trouver un lieu où est caché un indice, qui permet de localiser la rose des vents.
La rose des vents
Aidés par les indices éventuellement gagnés, les candidats se lancent à la recherche de la rose des vents dans une dernière énigme, seul moyen d’accéder au trésor. L’autre candidat arrête le jeu et repart avec un cadeau.
Le trésor
C’est l’ultime étape de l’émission. L’objectif : dénicher un coffre qui ne s’ouvre qu’avec la rose des vents. Si le candidat y parvient, il remporte le fameux trésor d’une valeur de 5 000 euros !
Au cours de l’émission, les candidats peuvent faire face à de nouvelles contraintes sur une ou plusieurs énigmes. À eux d’adapter leurs choix en fonction de ces handicaps, tels « L'énigme sans hélico » dans laquelle ils doivent se débrouiller par leurs propres moyens ou utiliser le mode de transport alternatif qui leur est proposé, « Un seul vol » où ils ne peuvent utiliser leur hélicoptère qu’une seule fois.