“Grands Reportages” : au chevet de la faune sauvage, dimanche 24 février sur TF1

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL samedi 23 février 2019 2830
“Grands Reportages” : au chevet de la faune sauvage, dimanche 24 février sur TF1

Partout en France, des passionnés se battent pour secourir les animaux sauvages. Des femmes et des hommes qui consacrent leur vie, à soigner, rééduquer et relâcher tous ces animaux que nous pouvons croiser au cœur de nos massifs, dans nos forêts, sur nos îles ou le long de notre littoral. Pendant plusieurs mois une équipe de “Grands Reportages” a suivi plusieurs d’entre eux dans nos régions, en outremer ou à l’autre bout du monde. Des Français au chevet de la faune sauvage.

Laeticia, est une jeune vétérinaire. Elle débarque en Guyane. Elle va tout découvrir de l’Amazonie française : « C’est magique. Ouais, ouais, bah oui. C’est superbe ». Guidée par Olivier qui est en place depuis des années, elle va devoir se familiariser avec la faune locale, y compris des monstres de plus de quatre mètres comme cet anaconda dont elle va devoir s’occuper : « J’ai confiance en l’équipe, et puis de toute façon c’est eux qui me diront s’il faut que je lâche, que je m’en aille, ou, si tout va bien ».

Au Pays basque, Véronique exerce un métier peu banal. Elle est ostéopathe pour animaux et s’est spécialisée dans la faune sauvage. Quand elle manipule les vautours ou autres rapaces des Pyrénées, elle accompagne ses soins avec des chants : « Alors en fait je parle de plus en plus aux animaux en même temps que je les soigne. Parce que j’ai remarqué que ça accélère le soin. ». Sa technique a de quoi surprendre mais les résultats sont là. La plus grande satisfaction de Véronique c’est d’assister à la remise en liberté d’animaux qu’elle a réussi à soigner.

Nous allons suivre aussi la grande aventure de Kellig et Florent. Ce jeune couple de la banlieue parisienne s’apprête à partir pour 6 mois dans les montagnes de l’Equateur pour s’occuper d’animaux sauvages. « On a hâte. Vraiment, vraiment hâte » raconte la jeune fille. Pas d’eau courante et beaucoup de travail, c’est justement ce qui enchante Florent : « Il ne faut pas regarder le nombre d’heures que l’on va avoir à bosser, si on a des animaux qui sont nocturnes, c’est la nuit qu’il faut s’en occuper, mais oui, c’est un investissement à fond et on ne part pas faire des câlins à des animaux, et juste prendre du plaisir. On est là pour eux, on travaille pour eux. Pas pour nous. ».

Enfin dans les Pyrénées, Jean-Jacques consacre sa vie au roi de la faune sauvage européenne : l’ours brun : « Ca fait 40 ans que je travaille sur l’ours, et ça me transporte toujours autant. Moi ça me donne l’impression que cet endroit-là, on est dans le monde des ours. ». Régulièrement, avec un groupe de bénévoles, il part sur les traces de la quarantaine d’ours vivant à la frontière franco-espagnole. Ce jour-là, coup de chance, un ours vient de passer dans les parages : « C’est toujours sympa de voir les empreintes, de voir une bête avec une patte comme ça, griffues et tout, c’est assez sympa. On est au sommet de la faune sauvage en Europe, l’ours brun, c’est quand même un fleuron, c’est l’animal le plus emblématique, le plus gros. Ce n’est pas pour rien que les gens l’aiment, ou le détestent. »

De l’Amérique du sud aux Pyrénées, en passant par la Guyane, enquête sur ces Français qui consacrent leur vie à sauver les animaux sauvages.

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