“Grands Reportages” : « Dur dur d'être un expert » à revoir samedi 11 juin sur TF1

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL jeudi 9 juin 2022 1361
“Grands Reportages” : « Dur dur d'être un expert » à revoir samedi 11 juin sur TF1

Lorsqu’un expert vient toquer à votre porte, ce n’est jamais très bon signe. La raison de sa présence est invariablement la même : une catastrophe a eu lieu. Inondations dans la Vésubie, séisme en Ardèche, mais aussi incendies en région parisienne, les équipes de “Reportages découverte” ont suivi plusieurs experts aux objectifs bien différents. Parfois, certains sinistres peuvent cacher une fraude à l’assurance. Entre les assurés qui exagèrent leur préjudice et ceux dont l’imagination semble sans limite, certains experts se muent en détective pour traquer les fraudeurs.

Denis est expert d’assurance depuis quarante ans. Sa spécialité : les catastrophes naturelles. Au lendemain de la tempête Alex qui a défiguré la vallée de la Vésubie, il a été missionné sur plusieurs dossiers sensibles. Entre histoires de familles et garanties contractuelles, sans cesse entre le marteau et l’enclume, Denis devra constater les dommages, les chiffrer et finalement proposer une indemnisation.

La maison d’Alain pourra-t-elle être reconstruite ? Les problèmes de contrat d’Henri seront-ils résolus ? A 400 kilomètres de là, Denis sera également mobilisé sur le séisme du Teil en Ardèche, où un assuré a vécu une bien mauvaise expérience avec un précédent expert. « Quand on part sur une catastrophe, certes on représente la compagnie d’assurance, on doit rester professionnel, mais on a en tête surtout qu’il s’agit de drames humains ».

Romain, lui, intervient sur des incendies, c’est sa spécialité. Sa mission est très claire : déterminer la cause d’un départ de feu. En banlieue parisienne, une salle de sport a été ravagée par les flammes, le rêve de trois jeunes est parti en fumée. Que s’est-il passé ? Romain va inspecter chaque recoin de la salle minutieusement, visionner les bandes de vidéo-surveillance et finira trouver des indices probants sur la cause réelle et inattendue du sinistre. « La vidéosurveillance, c’est la voie royale pour arriver à identifier l’origine de l’incendie puisqu’on nous donne des images en temps réel… ».

Mais tous les sinistres n’ont pas une origine naturelle ou involontaire. Les fraudes aux assurances représentent plus de 2,5 milliards d’euros chaque année. Alors les compagnies se sont armées pour y faire face.

A Arras, dans le Pas-de-Calais, Michaël, est un détective privé au service des compagnies d’assurance. Il s’est spécialisé dans la traque aux fraudeurs. Les dossiers rocambolesques ne manquent pas. Michaël enquête sur une jeune femme victime d’un accident de scooter et qui déclare être invalide. Dit-elle la vérité ? Le détective tentera par ailleurs de déterminer si un vol de voiture dans une commune paisible ne cache pas une fraude savamment orchestrée. « C’est un vrai sentiment de satisfaction de débusquer un fraudeur, quelqu’un qui escroque non seulement une compagnie d’assurance mais indirectement tous les assurés de cette compagnie ».

Chaque matin à Montmorency, Anthony, lui, traque les incendies. Mais il a une particularité : il travaille pour le compte des assurés qui bien souvent craignent de « ne pas faire le poids » face à l’assureur. Sa promesse ? S’occuper de tout et surtout ne pas se laisser impressionner par l’expert d’assurance. C’est donc à lui de démarcher le sinistré. « C’est l’assuré qui choisit son expert d’assuré parce qu’on va passer des mois ensemble. Il faut qu’il y ait des atomes crochus en plus des compétences qu’on lui apporte ».

Dernière modification le jeudi, 09 juin 2022 09:07
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