"Grands Reportages" : Entreprises centenaires, pour le meilleur et pour le pire (épisode 1) samedi 5 octobre 2024 sur TF1

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL jeudi 3 octobre 2024 1390
"Grands Reportages" : Entreprises centenaires, pour le meilleur et pour le pire (épisode 1) samedi 5 octobre 2024 sur TF1

Samedi 5 octobre 2024 à 13:40 sur TF1 dans "Grands Reportages", Anne-Claire Coudray vous proposera de découvrir « Entreprises centenaires, pour le meilleur et pour le pire » une série documentaire réalisée par Claire Delfini.

En France, les trois quarts des entreprises sont familiales. Parmi elles, certaines sont des institutions qui ont traversé les âges. Des petits bouts de patrimoine dont le savoir-faire n’a quasiment pas bougé. Mais comment transmettre et recevoir cet héritage, parfois lourd à porter ? Comment trouver l’équilibre entre fidélité au passé et nécessité de se renouveler ?

Spécialisées dans le café, le foie gras, les chaussettes ou encore l’horlogerie, quatre entreprises centenaires s’apprêtent à relever un défi important, un tournant dans l’histoire de leur société.

A Beaumont de Lomagne, en Occitanie, Marjorie va reprendre la conserverie familiale qui depuis 1888 produit des confits, cassoulets, et foies gras. Avant le départ à la retraite de sa maman Françoise, elle doit tout apprendre du métier. Pour prouver sa légitimité, Marjorie va aussi participer pour la première fois à un événement immanquable pour la famille : le concours du salon de l’agriculture. « Ça nous met une pression, il ne faut pas faire n'importe quoi avec ce que l’on nous transmet. Après à nous de tout faire pour que ça marche et que ça continue. »

A 32 ans, Boris, lui, a fait le pari de redonner vie à la société familiale. Fondée en 1875, l’entreprise produisaient et vendaient des milliers de paquets de café partout en France. Mais, en 1982, son grand père Jean Claude a fait faillite. A Toulon, Boris s’est engagé à continuer l’histoire de la marque. « J’en fais une affaire très personnelle, un combat. Parce que ça me faisait de la peine que le travail de mes ancêtres parte dans les méandres de l’histoire. » Nouvelle boutique, recherche de nouveaux cafés… : il veut lui aussi laisser son empreinte et retrouver le succès d’antan.

Pour qu’une société dure dans le temps, il faut savoir prendre des risques ! Nicolas a repris l'atelier familial basé à Mamirolles (Doubs) qui depuis 244 ans répare les horloges d’édifices. Cette année, un chantier démesuré l’attend : la restauration d’une horloge monumentale dans une cathédrale à Lyon. « Quand j’ai repris la société et que je me suis réengagé avec mon père dans cette activité c’est pour pouvoir accéder à ce genre de projet. » Rares sont les mécanismes de ce type : Nicolas joue la réputation de son savoir-faire.

Faute d’héritiers, certaines entreprises sortent du giron familial. A 35 ans, Constance a été choisie pour diriger une manufacture de chaussettes, qui a ouvert en 1924. Elle a la lourde responsabilité d’organiser le centenaire de la société. Pour fêter cette date historique, elle veut recréer une chaussette fabriquée comme à l’origine. « Le poids arrive un petit peu plus sur mes épaules là. On veut faire un bel événement pour les 100 ans et j’espère qu’on y arrivera. »

Pendant de longs mois, les équipes de "Grands Reportages" ont suivi ces 4 chefs d’entreprises face aux défis de leur époque et aux prises avec leur histoire familiale…sauront-ils perpétuer l’héritage, le faire vivre, le renouveler pour qu’il continue à traverser les âges ?

Dernière modification le samedi, 05 octobre 2024 12:33
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