"Grands Reportages" : J'irai au bout de mes rêves, dimanche 9 mars 2025 sur TF1

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL samedi 8 mars 2025 1303
"Grands Reportages" : J'irai au bout de mes rêves, dimanche 9 mars 2025 sur TF1

Dimanche 9 mars 2025 à 13:40 dans "Grands Reportages", TF1 diffusera « J'irai au bout de mes rêves... » un document réalisé par Anaïs Ciura et Laura Montabell.

Devenir pompier, aventurier, astronaute ou bien chanteuse, que deviennent ces passions d’enfants à l’âge adulte ?

En France seulement la moitié des actifs se déclarent heureux dans leur carrière professionnelle. Ils sont encore moins nombreux à exercer le métier dont ils rêvaient petits.

"Grands Reportages" les ont suivi pendant une année des hommes et des femmes de 19 à 69 ans prêts à tout pour aller au bout de leurs rêves d’enfant. Leur vie va changer, leurs repères vont être bouleversés mais leur cœur n’a jamais battu aussi fort qu’à ce moment charnière où tout devient possible.

Aussi loin qu’elle se souvienne, Lorine est passionnée par le monde du cabaret. A 49 ans, après 13 ans de dépression dans laquelle elle est tombée après le décès brutal de son père, Lorine reprend goût à la vie en réalisant son rêve d’enfant : ouvrir son propre cabaret. C’est dans la Meuse en pleine campagne qu’elle rénove, assistée par son mari Romain, une salle des fêtes un peu austère pour la transformer en temple de la nuit. Dans ce projet, elle a investi toutes ses économies. Travaux, création des costumes et recrutement des danseurs, Lorine va tout mener de front. Elle veut ouvrir son établissement dans 6 mois, le jour des 80 ans de sa mère. Une surprise qu’elle lui réserve dans le plus grand secret. « Quand on est enfant on rêve d’être médecin d’être policier et moi je rêvais d’être sur scène de porter des plumes. Le cabaret c’est ma vie et si j’ai choisi d’ouvrir le jour de l’anniversaire de ma mère c’est pour la remercier d’avoir toujours cru en moi, de m’avoir soutenue. »

Allan, 24 ans lui, rêve d’être astronaute. Depuis qu’il est tout petit son regard est tourné vers les étoiles avec cette envie de percer les mystères de l’univers. Originaire de Seine-Saint-Denis, Allan a été élevé dans un milieu modeste avec ses 3 frères et sœurs. Son père, technicien dans l'informatique et sa mère cantinière dans une école maternelle n’ont pas pu financer son école d’ingénieur. Allan a travaillé pendant 5 ans dans une boutique de vêtements pour payer ses frais de scolarité. Grâce à son travail et son audace, il a décroché le job de ses rêves à la NASA. "Grandds Reportages" l'a accompagné jusqu’à son premier jour au sein de la mythique agence spatiale américaine. « Ce qui a été le déclencheur c’est une sortie scolaire en CM1. On était allés en Seine et Marne dans un observatoire et j’ai été époustouflé par ce que j’ai vu dans le ciel… C’est sûr que ça fait longtemps que j’attends ce jour-là, mon entrée à la Nasa. Je pense qu’en ayant travaillé si dur, je savoure d’autant plus la victoire. Je suis la preuve qu’il n’y a rien de plus puissant qu’une personne motivée. Je vais pleurer quand je vais arriver là-bas c’est sûr ! »

Bayron, 20 ans, est étudiant en sciences sociales mais sa vraie passion c’est la scène. Il rêve de devenir humoriste. Pour se démarquer et se faire connaitre, il fait du stand-up à la fenêtre de son studio de 12m2 à Montrouge en banlieue parisienne ! Un concept qui a fait le buzz et qui pourrait lui permettre d’atteindre son objectif : décrocher la première partie d’un humoriste en vogue et monter sur scène pour la première fois. « C’est dans un camping quand j’avais 10 ans que je suis monté sur scène pour la première fois. J’avais choisi d’être présentateur pour être sur scène tout le long du spectacle. Si j’avais fait un sketch on m’aurait vu qu’une seule fois ! Ce que j’aime, c’est qu’on me regarde et évidemment faire rire les gens ! Je remercie ma mère de s’être sacrifiée pour me payer des cours de théâtre. Elle a toujours cru en moi et je veux la rendre fière. »

Enfin Miriam elle, a attendu la retraite pour réaliser son rêve de petite fille : devenir coiffeuse. « Mon père n’a pas voulu que je sois coiffeuse, ce n’était pas assez bien pour lui. Je pense qu’inconsciemment j’ai attendu son décès pour m’autoriser à démarrer des études de coiffure. Mais je pense finalement qu’aujourd’hui il serait fier de moi. » A 68 ans elle reprend le chemin de l’école dans une classe où la moyenne d’âge est de 18 ans. Miriam vit une seconde jeunesse. Avec son diplôme de coiffeuse, elle compte bien exercer son nouveau métier « Beaucoup de gens me disent qu’à mon âge je devrais profiter de ma retraite mais moi je ne vois pas ça comme un travail, pour moi c’est une récréation, une liberté. Je m’imagine dans un camion ambulant allant de village en village et ça s’appellerait Chez mamie Mimi ! »

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