"C dans l'air" vendredi 5 avril 2024 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL vendredi 5 avril 2024 1127
"C dans l'air" vendredi 5 avril 2024 : les invités reçus par Axel de Tarlé sur France 5

Axel de Tarlé vous donne rendez-vous ce vendredi 5 avril 2024 à 17:30 sur France 5 pour un nouveau numéro de “C dans l'air”. Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

17:30 L'invité de "C dans l'air"

Axel de Tarlé reçoit chaque vendredi et samedi en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.

Ce vendredi 5 avril 2024, Axel de Tarlé recevra : Barbara Thomas-David, notaire à Paris spécialisée en droit patrimonial.

La justice a tranché. Alain Delon a été placé sous curatelle renforcée ce jeudi 4 avril. Le tribunal de Montargis (Loiret) examinait la demande de mise sous tutelle de l’acteur, gravement malade et placé sous sauvegarde de justice depuis le 25 janvier dernier. La justice avait alors exigé la désignation d’un mandataire judiciaire "pour son suivi médical".

Jean-Marie Le Pen, âgé de 95 ans, a été placé « sous régime de protection juridique », a annoncé, mercredi 3 avril, le vice-président du Rassemblement national (RN), Louis Aliot, confirmant une information de RMC.

Barbara Thomas David, reviendra sur la spécificité de ces différentes mesures.

17:45 "C dans l'air"

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités :

Stéphanie Duraffourd, porte-parole d’Assurland.com.

Olivier Babeau, essayiste, président de l’Institut Sapiens.

Emma Haziza, hydrologue, docteur de l’École des Mines.

Frédéric Denhez, journaliste, spécialiste des questions environnementales.

Le thème de l'émission : Inondations : les assurances vont-elles suivre ?

Rarement la France n'aura été à ce point arrosée. Selon Météo France, l'hexagone a connu le cinquième mois de mars le plus pluvieux depuis 1958. Si les conséquences ont été légères en Île-de-France, d'autres départements ont subi de violentes crues. Dans la Vienne et l'Indre-et-Loire, plus de 200 personnes ont été évacuées en début de semaine, tandis qu'en Saône-et-Loire, l'Arroux est montée de plus de deux mètres en une nuit. En déficit d'eau après un mois d'octobre exceptionnellement chaud, certaines nappes phréatiques sont désormais pleines, si bien qu'elles ne permettent plus d'absorber les précipitations. D'autant qu'en bord de mer, comme dans le Nord et le Pas-de-Calais, elles sont peu profondes et arrivent plus vite à saturation.

Les deux départements ont connu une fin d'année 2023 extrêmement pluvieuse avec des crues qui ont ravagé plusieurs villages. Fin janvier, la Caisse centrale de réassurance (CCR) a d'ailleurs réévalué à 640 millions d’euros le coût des inondations de novembre et janvier dans les Hauts-de-France, contre 550 précédemment. Au même moment, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a annoncé que l'État pourrait racheter les maisons des familles sinistrées grâce au Fonds de Prévention des Risques Naturels Majeurs (ou fonds Barnier). Une pratique qui n'est d'ailleurs pas nouvelle. En 2010, au lendemain de la tempête Xynthia, l'État avait dépensé 159 millions d'euros pour racheter 700 maisons touchées en Vendée. Dans les Hauts-de-France, certaines familles même très attachées à leur domicile préfèrent plier bagage, alors que les conditions météorologiques devraient continuer à empirer avec le réchauffement climatique : "On ne peut plus vivre dans la peur comme ça", témoignait auprès du Figaro l'un des sinistrés en février dernier. Le Fonds Barnier est doté de 200 millions d'euros chaque année, mais est-ce suffisant ? En 2023, les catastrophes climatiques en France ont coûté 6,5 milliards d’euros et les prix des assurances devraient augmenter dès cette année.

Dans le Gard, qui a connu des crues meurtrières en 2002 (22 morts et 800 millions d'euros de travaux), les promoteurs immobiliers n'ont pas toujours conscience que l'épisode pourrait se reproduire. En 2018, un centre commercial a été construit à Alès en pleine zone inondable et ce, malgré les recours en justice de l'État. Ces dernières années, les collectivités territoriales ont donc adopté la manière forte. Dans le quartier du Moulinet, près de 25 maisons ont été détruites sur les bords du Grabieux, en prévention des futures crues du cours d'eau. Coût de cette relocalisation ? 6,5 millions d'euros.

Quelle a été l'ampleur des inondations ces derniers mois ? Pourquoi l'État décide-t-il de racheter les maisons de certains sinistrés dans les Hauts-de-France ? Comment les communes touchées par les inondations s'organisent-elles pour prévenir ces crues ?

Le sujet vous questionne ?

Posez votre question par SMS au 41 555 (du lundi au samedi de 15h30 à 19h00 | 0,05 € / SMS), sur Twitter avec le hashtag #cdanslair.

Dernière modification le vendredi, 05 avril 2024 16:13
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