Chaque jour, Faustine Bollaert accueille sur le plateau de "Ça commence aujourd'hui" des hommes et des femmes qui évoquent des événements marquants de leur existence, pour permettre à d'autres d'avancer dans leur parcours : un rendez-vous positif et optimiste.
Au sommaire des deux numéros diffusés vendredi 2 mai 2025 sur France 2 :
13:55 5, 6 ou même 10 enfants : et le couple dans tout ça ?
L’émission d’aujourd’hui s’intéresse aux familles atypiques et à la place du couple au milieu de tous leurs enfants.
Faustine Bollaert, reçoit 3 tribus sur le plateau.
Rahouda et Stéphane ont 10 enfants, âgés de 19 ans à 1 mois et demi. Issus tous les deux de familles nombreuses, ils rêvaient d'en être une à leur tour.
Cyril et Nadia, parents de 5 enfants se considèrent être plus une famille qu’un couple. Très différents l’un et l’autre, ils font de leur complémentarité une force.
Océane et Gianni ont 6 enfants dont 2 paires de jumeaux. Ils sont des parents dévoués à leurs enfants, mais protègent également leur couple.
15:05 IVG : 3 générations, 3 parcours de femmes face à l'avortement
Le 8 mars 2024, le droit à l’avortement était scellé dans notre Constitution. Simone Veil le disait, « aucune femme n’a recours de gaité de cœur à l’avortement ». Et c’est ce message aussi que veulent délivrer les invitées de Faustine Bollaert. L’avortement est un droit fondamental, mais il n’en reste pas moins un acte douloureux, loin d’être anodin…
Valérie a eu recours à l'IVG 3 fois. Mais la première fois, en 1965, avorter était interdit en France. La douleur, le silence, le mensonge, Valérie raconte l'avortement clandestin avant que cette liberté soit accordée aux femmes.
À 20 ans, Anaïs est tombée enceinte, elle a décidé de mettre fin à cette grossesse. Par honte et culpabilité, elle ne l'a pas dit à ses parents et souhaite profiter de l'émission pour leur dire et être enfin en paix avec sa décision.
Mère de 3 enfants, Pascale souhaitait garder son 3ème bébé, mais son ex-mari l'a obligée à avorter. Elle souffre toujours aujourd'hui de cet acte non consenti.