Îles bretonnes : elles touchent le jackpot !
Eaux turquoise, criques sauvages, nature préservée… Les îles bretonnes attirent chaque été plus de trois millions de vacanciers ! Groix, Belle-Île-en-Mer, Ouessant : ces paradis sont désormais ultra prisés. Comment les pros du tourisme essayent d’en profiter au maximum ? Et pour les touristes, quels sont les bons plans qui permettent d’en profiter ?
À Belle-Île-en-Mer (Morbihan), bien que les prix s’envolent, un camping réussit un tour de force : proposer des séjours à prix cassés aux vacanciers. Quels sont les secrets de la rentabilité de Didier Perron, un ancien vendeur de voitures originaire de Rennes ? Sur le port, la concurrence est forte entre les restaurateurs. Un ancien chef étoilé veut à tout prix se démarquer et faire salle pleine. En misant sur des produits locaux, l’agneau et le pouce-pied, a-t-il fait le bon choix ?
Sur l’île de Groix (Morbihan), le business de la location de voitures a explosé ! Capital a suivi le pari de Sébastien, qui a vendu son appartement pour lancer son affaire. Mais les concurrents ne vont lui faire aucun cadeau.
Galettes bretonnes : la guerre des biscuiteries
De la farine, du sucre, des œufs et surtout beaucoup de beurre : qui n’a jamais succombé au plaisir d’un biscuit breton ? Ils sont incontournables depuis plus de deux-cents ans.
Dans le sud-ouest de la Bretagne, le village de Pont-Aven se targue d’être l’authentique berceau de ce gâteau. Les commerçants du village en écoulent plus de cent-vingt millions par an et entre les biscuiteries, tous les coups sont permis. Traou Mad, Isidore Penven, la Biscuiterie de Pont-Aven : comment cherchent-ils à attirer les clients ? Dépôts de brevets, marketing qui mise sur l’authenticité, visites d’entreprises, recettes exclusives : quels sont leurs secrets ?
Plongée dans une guerre impitoyable autour d’un petit morceau de gourmandise et de terroir.
La marinière : ses rayures sont-elles vraiment bretonnes ?
Il suffit de se promener cinq minutes à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) pour comprendre le succès de ce vêtement iconique : toutes les boutiques (ou presque) en vendent et, sur le dos des touristes, la marinière est partout ! Comment ce vêtement, à l’origine uniforme des marins, s’est-il imposé comme un incontournable de nos garde-robes ? On en trouve aujourd’hui à tous les prix, de 10 à plus de 125 euros ! Comment expliquer ce grand écart ?
En Bretagne, trois fabricants font le pari du Made in France et se partagent un juteux marché. Leur défi : innover pour renouveler les collections. La marque Saint James s’apprête à lancer un « croptop », et même une « toutounière », un vêtement pour chien ! Mais tous cherchent surtout à produire au moindre coût, pour proposer l’offre la plus séduisante. Comment s’y prennent-ils ? Toutes les marques jouent-elles vraiment le jeu du terroir ?