L’émission automobile culte Vintage Mecanic célèbre cette année un cap symbolique : sa 10ème saison !
Pour cette saison évènementielle, le programme phare de la restauration automobile fait peau neuve et s’ouvre à une nouvelle ère, tout en restant fidèle à l’esprit qui a séduit des millions de passionnés. Son atout majeur ? Sa capacité à vulgariser la mécanique et à transmettre ses astuces de pro. Vendre, acheter, restaurer, estimer… c’est son quotidien et il met aujourd’hui son savoir-faire au service de Vintage Mecanic !
Après 9 saisons aux commandes, François Allain a décidé de voguer vers de nouveaux horizons mécaniques et de relever de nouveaux défis. Il passe aujourd’hui le volant à Baptiste - Les Pilotes du Dimanche -, l’un des créateurs de contenus automobile les plus en vue de la scène digitale.
Épisode 10x11 • Formule 1 McLaren de 1994
Baptiste s’est lancé un défi hors norme : s’associer avec un investisseur pour acheter, restaurer et revendre une véritable Formule 1 Prost Grand Prix.
Montant de l’opération : 500 000 euros. Une somme folle, qui signe le projet le plus ambitieux et le plus coûteux jamais entrepris dans l’histoire de Vintage Mecanic. Mais c’est l’aura d’Alain Prost : tout ce qui touche au quadruple champion du monde prend automatiquement de la valeur. Symbole fort du patrimoine français, cette monoplace représente la dernière écurie tricolore indépendante.
Mais le rêve a un prix : la carrosserie a bien morflé, les ailerons et le bas de caisse sont en vrac. Et côté mécanique, malgré un entretien régulier, un choc arrière impose de vérifier les portes-moyeux, les trains arrière et la boîte de vitesses. Sous la coque en carbone, le V10 Peugeot de 1995, capable de frôler les 15 000 tr/min, devra être ouvert et inspecté dans les moindres détails. Et pour la faire tourner, il faudra une véritable préparation d’équipe de course : assistance, ordinateur, procédures de démarrage millimétrées.
Bref, c’est la première incursion de Baptiste dans l’univers ultra-technique de la F1, un pari colossal où la moindre erreur pourrait coûter très cher.


































