Dans cet épisode, François Pécheux nous emmène sur un fleuve mythique, le Tage ! De la frontière espagnole jusqu’à son immense estuaire à Lisbonne, au Portugal.
François commence son voyage aux Portes du Tage, deux parois rocheuses hautes de 200 mètres, suspendu à un pont métallique au-dessus de l’eau. Avec Edgar, il va découvrir cette région protégée et ses richesses. Au bord de l’eau, il fait également la connaissance d’un chercheur d’or.
Plus bas, à bord d’un bateau électrique, François découvre Almourol et son château. Arrivé dans la région de Santarém, il rencontre Joana, qui travaille dans des vignes au bord du Tage.
En continuant son périple vers la mer, à Escaroupim, François rencontre Juan et Fernanda, un couple de pêcheurs Avieiros, qui vivent en famille sur le fleuve dans une barque en bois.
François prend place ensuite à bord d’un voilier, le Liberdade, pour évoquer les grands explorateurs portugais Magellan et Vasco de Gama… La mer est toute proche. Il fait escale dans des marais salants. On dit que le sel, « l’or blanc » a contribué à la richesse du Portugal.
Le Tage se fait de plus en plus large, et à bord d’un ferry qui relie ses rives, François est intrigué par un surfeur qui navigue sur la vague laissée par les bateaux.
Enfin, après plus de 220 kilomètres sur le fleuve au Portugal, après avoir franchi le gigantesque pont Vasco de Gama, la mer est enfin là, à Lisbonne, dans l’immense estuaire que les lisboètes appellent la mer de paille…
A la suite de cet inédit, France 5 vous proposera de revoir le numéro consacré au Parana.
François Pécheux embarque sur le Parana, le deuxième fleuve le plus long du continent sud-américain après l’Amazone.
Au départ des chutes d’Iguazu, François découvre le lien sacré noué entre le Parana, « parent de la mer » en guarani, et les communautés amérindiennes. Des plaines inondables investies par des cowboys, au majestueux delta du Rio de la Plata, il traverse des paysage spectaculaires et rencontre des modes de vie étonnants : une pêche ancestrale, une transhumance dans les marais ou les bucherons du delta.
Après 1800 km à travers l’Argentine, il touche enfin au but, au bout c’est la mer.