Épisode 5 Une bonne révision
20 mètres de long, 30 mètres de large c’est la dernière acquisition de Michael qui peut s’élever à plus de 7 000 mètres d’altitude.
Mais le Douglas DC3 est encore bien collé au sol, et ce pour une bonne raison. Avant que le Rosinenbomber ne puisse décoller, toutes les vis doivent être vérifiées, les câbles contrôlés, les réservoirs et le train d’atterrissage entretenus. Des tâches de routine se révèlent être de véritables défis sur cet engin volant de plus de 7,5 tonnes. Le choix du bon outil n’est pas une mince affaire.
Pour pouvoir examiner de près le châssis du DC3, les Mécanos Express doivent mettre la machine sur cales. Un simple cric ne suffit pas. Il faut deux supports spéciaux, un pour chaque aile. Et c’est justement ce qui donne du fil à retordre à l’ingénieux réparateur. En effet, qu’ils soient bricolés ou achetés dans le petit commerce de l’aviation militaire, aucun des deux élévateurs d’avion ne semble vouloir fonctionner. Incroyable mais vrai : les anciennes machines de Michael pourraient venir à bout du problème.
Épisode 6 Tout ou rien
Un peu de culture chez Morlock Motors ! Le patron des Mécanos Express a invité Miss Morlock USA à aller au musée, non sans avoir une idée derrière la tête.
Le musée de la technique aéronautique de Mersebourg, près de Leipzig, ferme ses portes. Pendant des années, les passionnés d’aviation et leurs familles ont pu profiter de plus de 50 000 pièces d’exposition. Des camions de pompiers, des deux-roues d’Europe de l’Est, des reproductions de machines volantes de Léonard de Vinci ou encore des avions de combat des temps modernes, le musée est d’une diversité difficile à égaler. Les exploitants de cette exposition de 60 000 mètres carrés veulent maintenant liquider la collection. Une aubaine…