Fifi c’est le « Roi de la Guinguette ». On fait des centaines de kilomètres, pour aller passer une journée chez lui, sur les bords de Marne. Ce titi parisien a un principe : « même si ma guinguette est sans chi-chi, il faut que les gens soient heureux quand ils viennent chez moi ». Mais à 70 ans, Fifi veut passer la main. Il est à la recherche d’un repreneur, qui lui aussi fera vivre l’esprit guinguette… David, un bistrotier, est sur les rangs, mais il a beaucoup à apprendre, il va surtout devoir se faire accepter par Fifi qui ne lui épargnera aucun test.
Kiliane et Pierre ont un rêve : tenir une guinguette. Ces quadragénaires ont donc décidé d’en créer une, en plein centre d’Orléans, sur les bords de Loire. Mais pas une guinguette à l’ancienne, une guinguette moderne, on appelle cela les « néo guinguettes ». Avec sa déco industrielle, elle attire un public jeune. « Entre Ville et Fleuve, le panorama est super. Outre la vue, c’est un terrain de jeu infini ». Cette guinguette newlook va-t-elle séduire ?
Erika et Baptiste, eux, ont connu Mumbaï, Karachi ou encore Kinshasa. Expatriés, ils gagnaient très bien leur vie. « Tout roulait pour nous, notre chemin était tout tracé, on s’est dit, et bien non, il y a cette guinguette qui est à vendre, on tente le coup ». Cette guinguette, c’est celle de l’adolescence de Baptiste. Située à Cazals, dans les gorges de L’Aveyron, elle se dresse au milieu de nulle part ; avec sa fréquentation inégale, ses jeunes trentenaires vont devoir se battre pour sauver leur affaire; c’est l’été de la dernière chance…
Laurence et Jean-Pierre, sont des experts es guinguettes. En danseurs expérimentés, ils courent les guinguettes…et leurs concours. Cette année, leur but, gagner celui de « Miss Guinguettes des Îles » à Troo, dans le Loir et Cher. Jean-Pierre est un passionné exigeant. « Sur une piste, je ne suis plus le même ! ». Et cela va lui jouer des tours…