"Grands Reportages - Changement de propriétaires saison 3" : 1er épisode dimanche 17 mars 2024 sur TF1

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL samedi 16 mars 2024 2123
"Grands Reportages - Changement de propriétaires saison 3" : 1er épisode dimanche 17 mars 2024 sur TF1

Dimanche 17 mars 2024 à 13:40, Anne-Claire Coudray vous proposera de voir dans "Grands Reportages" le 1er épisode de la 3ème saison de la série « Changement de propriétaires » réalisée par Andreïa de Araujo et Laura Chambaud.

Chaque année en France, près de huit cent mille transactions immobilières sont signées. Et bien souvent c’est bien plus que du matériel que nous vendons ou achetons. Nos maisons abritent nos souvenirs, nos secrets, nos rêves. Elles renferment toutes des histoires exceptionnelles, intimes ou singulières. Elles sont les témoins de nos vies.

Alors quand vient le moment de vendre, pour ceux qui partent, c’est un peu d’eux-mêmes qu’ils laissent derrière eux. Pour ceux qui achètent, c’est la promesse d’une nouvelle vie, d’un nouveau départ. Déménager, s’endetter, rénover, tout quitter, classiques, insolites, résidences principales ou secondaires, pendant plusieurs mois nous avons suivi des acheteurs et des vendeurs au moment où ils vont se lancer dans un projet immobilier.

"Grands Reportages" va vous ouvrir les portes de ces biens, dont le destin s’apprête à basculer. Une série documentaire de 4 x 60 minutes.

Épisode 1

Hélène et Vincent habitent dans le Nord de la France. Ils viennent régulièrement en vacances dans la presqu’île de Crozon. Le couple est tombé amoureux d’un hameau abandonné, ils ont décidé de l’acheter et de venir y habiter à l’année. Un changement de vie à venir pour toute la famille. Il est éducateur sportif, elle est sage-femme, ensemble, ils vont transformer les douze vieilles bâtisses du hameau de Kernaou en gîte. Les travaux sont gigantesques. Avec leurs trois enfants Hélène et Vincent vont vivre dans un chantier pendant de longs mois : « On a eu un accueil génial de la part des villageois. Ils sont contents de voir que le hameau va revivre grâce à nous. Du coup, ils nous filent un sérieux coup de main et on a fait de belles connaissances, on de vrais amis bretons maintenant ! »

Anouck et Mathieu habitent, eux, en région parisienne. Pour leur retraite ils veulent acheter une péniche afin de sillonner l'Europe. Mathieu a passé son brevet de pilote, il cherche un bateau d’occasion, un modèle Freycinet destiné au transport fluvial, réaménagé, plutôt rare. Le couple arpente les quais de bateliers pour dénicher la perle rare. Ils la trouvent à Douai, sur les bords de la Scarpe. Pour 100 000 euros, ils deviennent propriétaires d’une péniche. Mais le moteur n’a pas tourné depuis des mois, et mauvaise surprise, la pompe de refroidissement est en panne. Le couple est pris de doutes : « Est-ce qu’on n’a pas été trop vite ? Est-ce qu’on n’aurait pas dû faire plus de contrôles ? C’est compliqué d’acheter une péniche, on ne trouve pas facilement les informations. C’est pas expliqué sur internet comment ça marche une péniche.»

En Lorraine Carine et Stéphane louent depuis neuf ans leur maison. Le propriétaire a décidé de résilier leur bail et ils ont huit mois pour trouver un nouveau logement pour eux et leurs trois enfants. En pleine crise immobilière, l’offre de biens disponibles ne cesse de baisser et les loyers s'envolent, ils n'ont pas d'autres choix que d’acheter. A 46 ans, Carine et Stephane vont tenter l'aventure : devenir propriétaires. Avec leur budget de 175 000 euros, ils vont tout faire eux-même, le déménagement et la rénovation. « Il y a beaucoup de travaux, mais on voit qu’elle est saine comme maison. On peut faire immédiatement l’électricité, et dès qu’on aura signé on attaquera le gros du chantier. Il faut que cela soit habitable avant la rentrée scolaire des enfants, on n’a pas le choix ! »

Enfin, Jean-Philippe est un jeune retraité. Il a toujours voulu être chef de gare, mais la vie en a décidé autrement. Son rêve d’enfance encore chevillé au corps, il a décidé de s’offrir un jouet grandeur nature, la gare désaffectée de Pontivy en Bretagne. « Un jour un copain qui habite dans la région et qui connaissait ma passion m’a appelé pour me dire qu’il y avait cette gare à vendre. 24 heures après je faisais la visite, et là j’ai eu un coup de coeur ! » Dans la salle des consignes, à l’abri des regards, une surprise : l’ancienne façade de la gare qui porte encore le nom d’origine, Napoléonville. Le bâtiment date de 1864 et tombe par endroit en ruines. Jean-Philippe veut entièrement le rénover, pour le remettre dans son état d’origine. Et notamment réinstaller l’horloge qui la surplombait. Si l’achat s’élève à 70 000 euros, les travaux, eux, se montent à plus de 800 000 euros.

Dernière modification le vendredi, 22 mars 2024 08:48
mail

L'actualité TV Newsletter
Pour ne rien louper...
Chaque semaine, recevez en avant-première une sélection de programmes qui seront bientôt diffusés à la TV.

vignette primes a venir
vignette week end tv