17:30 L'invité de "C dans l'air"
Caroline Roux reçoit chaque jour en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.
Ce mercredi 22 mars 2023, Caroline Roux recevra : Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des arts et métiers, responsable scientifique du pôle sécurité, défense, renseignement, auteur de “Au commencement était la guerre”, chez Fayard.
Dans son livre, Alain Bauer analyse les conséquences globales de la guerre en Ukraine allant de tout le système logistique de la nourriture qui a été touché, à Vladimir Poutine qui affame la population, attaque l’approvisionnement en électricité et en eau de l'Ukraine, déporte de force des millions de citoyens ukrainiens, pille les œuvres d’art en Ukraine…
17:45 "C dans l'air"
Caroline Roux décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.
Les invités :
Christophe Barbier, éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-tireur.
Raphaëlle Bacqué, frand reporter au journal Le Monde.
Astrid de Villaines, cheffe du service politique au Huffington Post.
Bernard Sananes, politologue, président de l’institut de sondages Elabe.
Le thème de l'émission : Macron assume... Opposition et syndicats vent debout.
Après presque une semaine de crise depuis le recours du gouvernement au 49.3, et alors que les manifestations et les blocages se multiplient dans le pays, Emmanuel Macron s’est adressé ce mercredi aux Français lors d’une interview télévisée, pour tenter d’« apaiser » la colère contre sa réforme des retraites adoptée au forceps et d’expliquer comment il entend surmonter cette période sans changer son gouvernement ou s’en remettre aux électeurs.
Le chef de l’Etat qui ne veut ni dissolution, ni remaniement, ni référendum, entendait montrer qu’il tenait la barre, engagé sur un chemin dont la direction n’a pas changé. Il a ainsi réaffirmé la nécessité de sa réforme des retraites dont il souhaite l’entrée en vigueur "d'ici la fin de l'année" et s’est dit prêt à "endosser l’impopularité" pour la mettre en œuvre. Renouvelant sa confiance à Élisabeth Borne mais lui demandant d’"élargir" la majorité, le président de la République a par ailleurs regretté que les syndicats n’aient pas présenté de "proposition de compromis" sur le texte, soulignant que le gouvernement l’a fait, en revanche, "avec le Parlement".
Alors que retenir de l’interview du président de la République ? Comment Elisabeth Borne peut-elle bâtir une "majorité élargie" ? Et que vont faire maintenant les syndicats ?
Le sujet vous questionne ?
Posez votre question par SMS au 41 555 (du lundi au samedi de 15h30 à 19h00 | 0,05 € / SMS), sur Twitter avec le hashtag #cdanslair.