Pas assez Nouvelle Vague, trop bourgeois... Si le cinéma de Claude Sautet n'a jamais fait l'unanimité, il n'a jamais laissé indifférent. Laurent Delahousse consacre ce dimanche 12 novembre le cinquième portrait de cette saison d'“Un jour, un destin” à un réalisateur reconnu mais méconnu des Français, dont la patte a su imprimer, à coups de héros ordinaires, de pluie et de brasseries enfumées, le cinéma français.