À l'approche des fêtes, Patron incognito s'invite chez « Le comptoir de Mathilde » pour explorer ceux qu'on ne voit jamais, mais sans qui Noël n'aurait pas la même saveur : vendeurs en boutique, chocolatiers à l'atelier et équipes de conditionnement.
Dans cet épisode, derrière son costume de dirigeant se cache un patron différent, presque un membre de l’équipe. Mais pour comprendre réellement le quotidien de ses collaborateurs, il va devoir tromper les apparences et mettre en place un plan inédit pour infiltrer sa propre entreprise. Grâce aux technologies du monde du cinéma, Richard Fournier va changer de visage : un grimage spectaculaire qui lui permettra d’évoluer incognito parmi ses équipes.
Sous sa fausse identité de Mickael, il plonge dans la réalité du terrain pour évaluer la préparation des équipes face au pic d’activité de Noël, période clé de l’année, mais aussi mesurer leur capacité à accompagner la forte croissance de l’entreprise et son ambition d’expansion.
Au fil de ses immersions, il découvre les coulisses de la marque : l’affluence en boutique, la précision des gestes sur les lignes de chocolat, la cadence du conditionnement et, partout, la passion qui fait tenir la promesse gourmande du Comptoir de Mathilde.
Les immersions :
Camaret-sur-Aygues • Atelier chocolat
À Camaret-sur-Aygues, Romain, conducteur de ligne, enchaîne briefing, réglages et marbrage à la main. Ici, chaque détail compte : organisation du poste, gestes répétés, contrôle permanent de la température pour garantir l’éclat et la texture. Puis cap sur une ligne ultra-automatisée, redoutée pour sa cadence. Mickael alias Richard Fournier mesure l’exigence d’un métier physique et répétitif, où la qualité ne peut pas se négocier, même quand tout s’accélère.
Ormesson-sur-Marne • Une franchisée passionnée en quête de renouveau
À Ormesson-sur-Marne, Tépi, 29 ans, tient sa première boutique franchisée du Comptoir de Mathilde. Dynamique, souriante et proche de ses clients, elle a fait de son magasin un lieu chaleureux et accueillant. Pourtant, derrière son enthousiasme, la jeune femme traverse une période de doute : son chiffre d’affaires est inférieur d’environ 20 % à la moyenne du réseau, et la pression de la période de Noël se fait sentir.
Entre gestion des stocks, accueil client et préparation des animations festives, Tépi redouble d’efforts pour redonner de l’élan à son point de vente. Richard Fournier, sous couverture, va découvrir une entrepreneure investie mais en perte de motivation, submergée par la charge mentale et le poids des responsabilités. Une immersion touchante qui mettra en lumière les défis du commerce de proximité et la réalité d’une franchisée qui rêve de rebondir.
Camaret-sur-Aygues • Conditionnement : la cadence et l’art d’anticiper
À la tête d’une grande ligne de conditionnement, Rachel dans l’usine de Camaret-sur-Aygues, coordonne une équipe d’intérimaires, forme les nouveaux, ajuste les machines et veille au moindre détail : poids, filmage, étiquetage. Sa règle d’or : anticiper pour que la ligne ne s’arrête jamais. Management, ergonomie, transmission des bons gestes… L’équilibre est fin, mais c’est là que se joue la fiabilité des volumes de Noël.
| Extrait vidéo |
"J'ai pris un sacré coup de vieux" Pour ne pas se faire reconnaître par ses employés qu'il croise tous les jours, ce patron s'est fait confectionner un masque sur-mesure...


































