"C dans l'air" lundi 1er janvier 2024 : les invités reçus par Maya Lauqué sur France 5

Mis en ligne par Jean-Marc VERDREL lundi 1 janvier 2024 1904
"C dans l'air" lundi 1er janvier 2024 : les invités reçus par Maya Lauqué sur France 5

Maya Lauqué vous donne rendez-vous ce lundi 1er janvier 2024 à 17:30 sur France 5 pour un nouveau numéro de “C dans l'air”. Voici le thème de l'émission et les invités qui seront reçus.

17:30 L'invité de "C dans l'air"

Axel de Tarlé reçoit chaque vendredi et samedi en direct une personnalité qui fait l'actualité. Hommes et femmes politiques, écrivains, philosophes, scientifiques ou l'économistes : 10 minutes de dialogue pour donner un éclairage en prise directe avec l'information du jour.

Ce lundi 1er janvier 2024, Maya Lauqué recevra : Laurent Karila, professeur de psychiatrie-addictologie et porte-parole de SOS Addiction.

Aujourd'hui commence le "dry january" ("janvier sobre"), un mois d'abstinence à l'alcool pour faire le point sur sa propre consommation.

Selon le dernier baromètre Santé publique France de juin 2023, 22% des Français dépassent les plafonds de consommation d'alcool recommandés, fixés à maximum 10 verres d'alcool par semaine, et 2 verres par jour. Un chiffre en baisse, alors que 41.000 morts sont encore imputables à l'alcool chaque année en France. Un tiers des Français se disent prêts à suivre le "dry january", selon un sondage Ifop. C'est la 5è opération de ce mois de de janvier "sobre "en France, une initiative venue du Royaume-Uni. "Ce défi permet d'évaluer son rapport à l'alcool, affirme Laurent Karila. Meilleur teint, économies d'argent, meilleur sommeil ... ne pas boire d'alcool pendant un mois apporterait de nombreux bénéfices.

Laurent Karila est professeur de psychiatrie-addictologie et porte-parole de SOS Addiction. Il publie le 24 janvier prochain « Docteur : addict ou pas ? » aux éditions Harper Collins. Il intervient aussi régulièrement dans l’émission "Ça commence aujourd’hui" sur France 2 et présente le podcast "Addiktion". Il a co-signé une tribune parue le 11 décembre dernier dans Le Parisien avec 47 autres addictologues, pour que le gouvernement soutienne le "dry january".

17:45 "C dans l'air"

Axel de Tarlé décryptera en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.

Les experts invités :

Yves Thréard, éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro.

Nathalie Mauret, journaliste politique pour le groupe de presse régionale EBRA.

Pierre Haski, chroniqueur international à France Inter et L’obs.

Frédéric Dabi, directeur général OPINION - institut de sondages IFOP.

Le thème de l'émission : Emmanuel Macron peut-il "réarmer" la France ?

"Réarmement". C'est le mot qu'Emmanuel Macron a martelé hier soir lors des traditionnels vœux adressés aux Français. Debout dans le jardin de l'Élysée, où a avait été dressée une rangée de drapeaux de différents pays du monde, le président de la République a défendu son bilan de l'année écoulé pendant une douzaine de minutes. Le chef de l'Etat s'est aussi et surtout montré volontariste, promettant pour l'année qui commence "détermination", "efficacité" et "résultats".
Il a salué le "réarmement industriel, technologique, scientifique" du pays, et présenté 2024 comme "une année d'espérance". Dans son allocution, le président de la République a également souhaité un "réarmement civique", soutenant que l’appartenance à la "France" s’articule autour d’"une culture, une histoire, une langue, des valeurs universelles qui s’apprennent dès le plus jeune âge, à chaque génération". Il a aussi évoqué un réarmement "économique", "de l’Etat et de nos services publics".
Ces vœux interviennent dans un contexte politique complexe. De nombreux commentateurs évoquent un remaniement alors que la majorité s'et divisée comme jamais lors du vote la loi sur l'immigration. Rédigée sous la pression de la droite sénatoriale, adoptée avec les voies du Rassemblement National, cette dernière consacre, pour Marine Le Pen, la préférence nationale défendue depuis toujours par son parti. Un comble pour l'exécutif, alors qu'aux second tour de la dernière élection présidentielle de nombreux électeurs ont voté pour Emmanuel Macron pour faire barrage à l'extrême-droite.
La normalisation du RN est donc en passe d'être achevée. Le parti est également, d'après plusieurs sondages, en tête des intentions de vote pour les élections européennes de juin prochain. Il devance le parti présidentiel et une gauche en ordre dispersé.
Le chef de l’Etat a bien sûr évoqué cette échéance lors de son allocution. Ce scrutin sera pour Emmanuel Macron celui du "choix décisif" entre "continuer l’Europe ou la bloquer". "Nous aurons à faire le choix d’une Europe plus forte et plus souveraine à la lumière de l’héritage de Jacques Delors", a-t-il déclaré. Il faudra, selon lui, trancher entre "affirmer la force de nos démocraties libérales ou céder aux mensonges qui sèment le chaos".
Les oppositions n'ont pas manqué de réagir au discours du président. "La grandiloquence du verbe cherche à masquer l’absence de perspectives", a raillé sur X le patron du Parti socialiste, Olivier Faure. "On comptait sur des vœux, on reçoit des malédictions. Il dit : “plus et plus vite” !", a tancé le fondateur de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon. A droite, Éric Ciotti, le président des Républicains, a estimé que les vœux présidentiels étaient "délibérément trompeurs".

Sur le plan international, il a, là encore, été question de réarmement. Au sens littéral cette fois. Le budget militaire est prévu à la hausse afin de faire face aux nombreux défis géopolitiques qui attendent la France. Emmanuel Macron a assuré qu’il n’oubliait pas les otages retenus par le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza. Le chef de l'Etat a également promis de continuer à soutenir l’Ukraine. Ces derniers jours, la violence a redoublé d'intensité dans l'affrontement entre Kiev et Moscou. Après une série de frappes russes meurtrières sur de nombreuses villes ukrainiennes, c'est la ville russe de Belgorod qui a été frappé par un puissant bombardement. Le chaos ne semble pas près de s'arrêter.

En France, l'exécutif aura aussi à relever le défi de la sécurité intérieure. À ce sujet, les passes d'armes et les polémiques sont nombreuses, au parlement et dans les médias, entre les différents camps politique. Sur le terrain les élus locaux prennent les choses en main. A Cernay, en Alsace, l'équipe municipale travaille avec de nombreux acteurs de terrain pour prévenir la délinquance. Elus, associations, éducateurs, ils sont tous investis.

Y aura-t-il un remaniement ? Va-t-on assister à une vague RN aux élections européennes ? La France est-elle préparée pour les défis internationaux en Ukraine et au Proche-Orient ? Comment prévenir la délinquance ?

Le sujet vous questionne ?

Posez votre question par SMS au 41 555 (du lundi au samedi de 15h30 à 19h00 | 0,05 € / SMS), sur Twitter avec le hashtag #cdanslair.

Dernière modification le lundi, 01 janvier 2024 16:34
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